Sport : et si je m’y mettais ?

SPORT

Bénéfique à tout âge, le sport est particulièrement recommandé à partir de la cinquantaine car il permet de rester en bonne santé, aussi physique que mentale. En effet, une activité régulière permet de conserver le cerveau, les os et les muscles en bon état.


Pourquoi faire du sport ?

Le sport est le mot clé pour avoir un moral d’acier, garder ses muscles en bon état, mais aussi protéger son cœur et ses os !  Il permet aussi d’assouplir les articulations et amplifier ses mouvements, et renforce le système immunitaire.

Le sport aide également à lutter contre l’ostéoporose et à améliorer le fonctionnement du système cardiovasculaire.

Quel sport choisir ?

Selon ce que l’on souhaite améliorer, différentes sortes de sports sont conseillés par les experts.

Certaines activités modérées telles que le fitness et le tai chi seraient bonnes pour booster les fonctions cognitives, et de ce fait la mémoire.
D’un autre côté, le renforcement musculaire aurait un impact sur les fonctions exécutives telles que la logique, le raisonnement ou la stratégie.

Mais le secret pour optimiser les effets positifs du sport sur le mental réside surtout dans l’équilibre. Ainsi, il faudrait alterner entre des exercices de gymnastique douce et des activités de résistance modérée à intense.

De plus, le fait de varier deux sports différents réduit considérablement le risque de blessures.

Quelles précautions faut-il prendre ?

 Type de sport et terrain de pratique 

Selon vos faiblesses, il faut choisir un sport et un terrain adéquat. Si vous avez des soucis au niveau des tendons ou des articulations (chevilles, genoux ou hanches), les sports comprenant des sauts réguliers et des impacts sont à proscrire. Il est aussi préférable d’éviter les surfaces dures comme le bitume car chaque mouvement sera assimilé comme un micro-traumatisme.

Si vous avez peu d’équilibre, évitez la course et la marche sur des chemins irréguliers tels que les terrains en pleine nature. Ainsi, cela réduira votre risque de trébucher et de vous faire une entorse.

Matériel 

Choisissez un matériel adapté : il est important d’avoir des chaussures correspondant à l’activité pratiquée pour bien amortir les chocs.

Pour le sport en terrain urbain optez pour une paire classique. En revanche, si vous allez marcher ou courir dans la nature prenez une paire spécifique, plus renforcée pour que vos pieds aient plus de stabilité. L’essentiel est que la chaussure soit confortable dès le moment où vous mettez le pied dedans.

A quelle fréquence faut-il s’entraîner ?

Dans l’idéal, il est conseillé de faire des sessions de 45 minutes par jour, et ce autant de fois que possible dans la semaine.

Envie d’aller plus loin ?

Pour les plus actifs, le sport peut également aider à perdre du poids, muscler et sculpter son corps. Si le but est de vous amincir tout en vous entraînant efficacement, il convient de pratiquer du cardio. Parmi les sports qui brûlent le plus de graisse se trouvent : la boxe, le squash, le footing et la natation.

Pour les moins motivés, pas de panique ! Vous pouvez aussi vous dépenser en faisant du jardinage (206kcal/heure), du shopping (86kcal/heure) ou encore en promenant votre chien (136kcal/heure). 😉

 

Sources : La Dépêche, France TV Info

Choisir une assurance dépendance

assurance autonomie

Choisir une assurance dépendance

 

Avec l’âge, il n’est pas rare que notre autonomie se dégrade. Avec l’assurance dépendance, vous disposez d’une solution concrète pour pallier la perte d’autonomie et anticiper les conséquences financières de cette situation. Découvrez tous nos conseils pour bien la choisir.

 

Qu’est-ce qu’une assurance dépendance ?

La France compte en 2020 plus de cinq millions de personnes âgées dépendantes, un chiffre amené à progresser dans les années à venir avec le vieillissement de la population française. Pour toutes ces personnes, la perte d’autonomie peut représenter un véritable gouffre financier. La dépendance occasionne en effet le plus souvent des dépenses liées :

  • aux traitements médicaux associés à certaines affections (notamment les affections de longue durée) ;
  • aux services d’aide à domicile pour pallier l’impossibilité de réaliser certaines actions seul(e) ;
  • au coût de l’hébergement lorsque le placement dans un établissement spécialisé s’impose ou apparaît comme la meilleure solution.

L’assurance dépendance définit dans ce contexte un type d’assurance (ou prévoyance) destiné à diminuer le coût financier de la perte d’autonomie. L’assurance dépendance permet également, selon les contrats, d’alléger la prise en charge de la perte d’autonomie par les proches.

 

Assurance dépendance ou perte d’autonomie : quels avantages ?

En souscrivant à une assurance dépendance ou à une assurance perte d’autonomie, vous bénéficiez, une fois votre état de dépendance reconnu, d’indemnités de la part de votre assureur. Ces indemnités peuvent être versées sous la forme d’une rente mensuelle ou bien sous la forme d’un capital (les modalités diffèrent en fonction des contrats et dépendent principalement de vos exigences). Autrement dit, l’assurance dépendance vous permet de couvrir une partie plus ou moins importante des dépenses liées à votre perte d’autonomie, des dépenses que n’auront donc pas à assumer vos proches.

 

Comment bien choisir une assurance dépendance ?

Comme pour tout contrat d’assurance, il est vivement recommandé de comparer les offres disponibles avant de faire votre choix. Pour votre assurance dépendance ou perte d’autonomie, pensez donc à comparer en amont :

  • les garanties proposées (soyez notamment vigilant(e) sur les notions de dépendance totale et de dépendance partielle) ;
  • les prestations complémentaires proposées (services à domicile, etc.) ;
  • les tarifs de l’assurance dépendance ;
  • les délais de carence ;
  • les délais de franchise ;
  • les conditions d’exclusion (dans certains contrats, des situations engendrant une dépendance peuvent ne pas être couvertes).

Votre âge et votre état de santé définissent par ailleurs deux autres éléments importants à prendre en compte au moment de choisir une assurance dépendance. Ainsi, mieux vaut anticiper la souscription d’un tel contrat de prévoyance dès le plus jeune âge (plus de 40 ans) plutôt que d’attendre 70 ans (avec un risque de présenter un profil médical moins favorable).

 

Zoom sur l’assurance dépendance et assurance autonomie Filiassur

Baptisée Capital Autonomie, l’assurance dépendance Filiassur vous permet d’anticiper les frais occasionnés par la perte d’autonomie et de libérer vos proches de cette charge financière. Avec Capital Autonomie, vous profitez d’indemnités versées sous forme de capital et de tout un panel de prestations dédiées (services à domicile, assistance téléphonique, etc.). Accessible dès 4,11 € par mois, l’assurance dépendance et autonomie Filiassur garantit une cotisation fixe qui n’évolue pas avec l’âge. Avec la prévoyance Capital Autonomie de Filiassur, vous disposez enfin d’une solution sur mesure pour garantir votre indépendance en cas de perte d’autonomie.

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Capital autonomie pour plus d’informations sur notre offre.

Accident professionnel ou accident de la vie : les indemnités que vous pouvez percevoir

garantie accident de la vie

Accident professionnel ou accident de la vie : les indemnités que vous pouvez percevoir

 

Vous avez été victime d’un accident (privé ou professionnel) ? Selon la nature de cet accident et en fonction de votre situation, différentes indemnités peuvent vous être versées afin de faire face plus sereinement aux conséquences financières de cet accident. Explications.

 

La pension d’invalidité

En France, la Sécurité sociale prévoit le versement d’une pension d’invalidité pour toutes les personnes dont la capacité de travail et de gain est réduite d’au moins 2/3 à la suite d’un accident (ou d’une maladie d’origine non professionnelle). La pension d’invalidité permet ainsi de compenser la perte de salaire liée à votre incapacité à poursuivre votre emploi dans les mêmes conditions. Pour en bénéficier, il faut :

  • être officiellement reconnu(e) comme invalide ;
  • être affilié(e) à la Sécurité sociale depuis au moins 12 mois à compter du 1er jour du mois de votre arrêt de travail ou de la constatation de votre invalidité ;
  • remplir des conditions de cotisation à la Sécurité sociale ;
  • formuler une demande auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

Le montant des indemnités accident sous forme de pension d’invalidité varie en fonction de plusieurs éléments. Il prend en compte la catégorie d’invalidité (3 catégories) et votre salaire annuel moyen calculé à partir de vos dix meilleures années de salaire. À noter que la pension d’invalidité n’est pas permanente. Elle peut faire l’objet d’une révision, d’une suspension, voire d’une suppression selon l’évolution de votre situation. C’est notamment le cas en cas d’évolution de votre état de santé (amélioration ou aggravation), de reprise d’une activité professionnelle salariée ou non salariée, ou lors de votre départ en retraite.

 

La rente d’incapacité permanente pour accident du travail

Vous avez été victime d’un accident du travail ? Selon les séquelles causées par cet accident, la Sécurité sociale peut officiellement vous attribuer un taux d’incapacité permanente. Ce dernier dépend principalement :

  • de la nature de l’infirmité ;
  • de votre état de santé général ;
  • de votre âge ;
  • de vos aptitudes et qualifications professionnelles.

Lorsqu’une incapacité permanente au travail est reconnue, vous devenez éligible à des indemnités accident ou à une rente d’incapacité permanente (les indemnités sont versées sous la forme d’un capital lorsque le taux d’incapacité est inférieur à 10 %. À partir et au-delà des 10 %, vous percevez une rente trimestrielle). Le montant de la rente d’incapacité permanente pour accident du travail résulte d’une multiplication entre le salaire perçu au cours des 12 derniers mois et le taux d’IPP (Incapacité permanente partielle). À noter que l’indemnisation en cas d’incapacité permanente se décline sous la forme d’une indemnisation complémentaire lorsque l’accident du travail résulte d’une faute inexcusable de l’employeur. En pareille situation, vous êtes libre de réclamer une majoration de votre rente d’incapacité permanente et/ou la réparation intégrale des préjudices subis et non indemnisés par la rente.

 

Les contrats de prévoyance

Le montant des différentes indemnités versées en cas d’accident suffit rarement à combler la perte de revenus qui découle de cet accident. Pour conserver un train de vie comparable à celui que vous aviez avant votre accident, il existe la solution des contrats de prévoyance. Chez Filiassur, des contrats tels que le contrat Accident, le contrat Accident de la Vie ou encore la Prévoyance Décès vous permettent d’affronter (vous ou vos proches) un accident plus sereinement sur le plan financier. Le principe est simple : en cas d’accident, vous (ou votre famille) profitez d’une protection complète (soutien financier, service d’assistance, etc.) et limitez ainsi l’impact financier de votre accident sur votre vie quotidienne.

 

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Accident de la vie pour plus d’informations sur notre offre.

Quelle assurance pour mon animal de compagnie ?

assurance chien chat

Quelle assurance pour mon animal de compagnie ?

 

Les humains ne sont pas les seuls à pouvoir profiter d’une assurance en cas de maladie. Nos amis à quatre pattes (ou moins) peuvent aussi en bénéficier. Explications.

 

Une assurance animal de compagnie : pour qui ?

L’assurance animal de compagnie s’adresse à tous les propriétaires d’animaux de compagnie (chats/chiens le plus souvent) qui souhaitent protéger leur compagnon à quatre pattes en cas de maladie ou d’accident. De façon plus large, l’assurance pour animaux de compagnie peut également intéresser toutes celles et ceux d’entre vous qui aspirent à voir les dépenses de santé pour leur chien, chat, etc. en partie couvertes par une assurance. En moyenne, un Français dépense en effet 211 € par an en frais de vétérinaire pour un chien, et 166 € par an pour un chat.

 

Assurance animal de compagnie : zoom sur le fonctionnement de ce type d’assurance

L’assurance animal de compagnie fonctionne sensiblement de la même manière que l’assurance santé à laquelle vous êtes habitué(e) en tant qu’humain (Assurance maladie et complémentaire santé). En fonction du contrat souscrit et des conditions du contrat, vous pouvez, par exemple, obtenir le remboursement de vos dépenses vétérinaires (vaccins, examens réalisés, médicaments prescrits, etc.). Cela implique, évidemment, le versement d’une cotisation mensuelle comme vous le faites déjà pour votre complémentaire santé ou pour votre assurance auto. Celle-ci varie, selon les situations, entre une dizaine d’euros par mois et plus de 50 € par mois pour les formules les plus protectrices.

 

Pourquoi souscrire une assurance animal de compagnie ?

La souscription d’une assurance animal de compagnie permet de faire face aux dépenses souvent imprévues liées à l’état de santé de votre animal. Avec une assurance chien ou une assurance chat, vous limitez les risques de devoir renoncer à une opération nécessaire à la bonne santé de votre animal faute de budget disponible ou de facture trop élevée. Avec une assurance animal de compagnie, vous limitez également l’impact de ces dépenses imprévues sur votre quotidien avec une prise en charge financière par votre assurance.

 

Les différents types d’assurance

Il existe aujourd’hui plusieurs types d’assurance pour animaux de compagnie. On distingue notamment les contrats d’assurance animaux de compagnie :

  • pour les frais de santé : il s’agit de proposer une prise en charge financière des dépenses vétérinaires classiques (comme les vaccins) ou exceptionnelles (comme les opérations ou les traitements pour maladie) ;
  • pour la responsabilité civile : en tant que propriétaire d’un animal de compagnie, vous êtes tenu(e) de souscrire une assurance responsabilité civile qui vous protège des éventuels dommages causés par votre animal (morsure, dégâts sur une pelouse, etc.). La plupart du temps, cette responsabilité civile est incluse dans votre contrat d’assurance habitation (multirisques). Dans ce cas, l’assurance ne prévoit toutefois d’indemnisation que pour les victimes. Pour protéger votre animal en cas de blessure ou de maladie, il est donc nécessaire de souscrire une assurance spécifique ;
  • pour la perte de votre animal : certaines assurances pour animaux de compagnie prévoient un accompagnement personnalisé en cas de perte de votre animal. Chez Filiassur, l’assistance Chien/Chat intègre le dispositif CareMyDog pour vous aider à retrouver plus facilement, et plus rapidement, votre compagnon à quatre pattes.

 

Comment choisir une assurance animal de compagnie ?

Comme pour n’importe quel type de contrat d’assurance, le choix d’une assurance pour votre chien ou pour votre chat dépend avant tout de vos besoins et de votre budget. L’âge et l’état de forme/santé de votre animal impactent également le choix d’une assurance pour animal de compagnie (un chiot en pleine santé ne nécessite pas le même contrat qu’un chien plus âgé ayant déjà eu à subir des opérations). Chez Filiassur, l’assurance chien/chat comprend des garanties telles que la prise en charge de votre animal en cas d’hospitalisation personnelle, une assistance téléphonique disponible 24h/24 7J/7 en cas de perte ou de fugue de votre animal, et bien d’autres encore. L’assurance animal de compagnie proposée par Filiassur se veut par ailleurs accessible au plus grand nombre avec une cotisation dès 2,90 € par mois.

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Assistance chien/chat pour plus d’informations sur notre offre.

Que coûte une hospitalisation ?

Assurance hospitalisation

Que coûte une hospitalisation ?

 

Bien que la Sécurité sociale couvre une grande partie du coût d’hospitalisation, certains frais sont toujours à la charge des patients. Et ce, même lorsque votre situation vous donne droit à une prise en charge de 100 % par l’Assurance Maladie, à de rares exceptions près…

 

Coût de l’hospitalisation : variable d’un cas à l’autre

Le prix d’une journée d’hospitalisation dépend de nombreux critères, dont la structure d’accueil (ex. : hôpital public ou privé), votre région ou encore le service où vous êtes admis. Il comprend, outre le salaire du personnel soignant, de nombreux coûts comme celui des médicaments administrés, ainsi que les frais liés à l’hébergement en lui-même (ex. : chauffage, repas).

Au final, une seule journée d’hospitalisation revient souvent à plus de 1 000 euros. Voire nettement plus dans les services de soins intensifs… Cependant, seule une « petite » fraction de ce montant est à la charge des patients !

 

Quelle partie est remboursée par la Sécurité sociale ?

Sauf cas particulier, la Sécurité sociale couvre uniquement les frais d’hospitalisation proprement dits. Ces derniers comprennent :

  • le salaire du personnel médical ;
  • les actes chirurgicaux et médicaux effectués ;
  • les traitements médicamenteux ;
  • l’utilisation de divers appareils médicaux comme les scanners.

La Sécurité sociale les prend habituellement en charge à hauteur de 80 %, sur la base des tarifs conventionnés. Les 20 % restants correspondent au « ticket modérateur » : si le prix de la journée hospitalisation est de 1 000 € par exemple, il revient donc à lui seul à 200 €… Mais une exonération est possible dans certains cas : on parle alors de prise en charge à 100 %. Elle vous concerne notamment si vous êtes :

  • atteint d’une Affection de Longue Durée (ALD) ;
  • hospitalisée dans les 4 mois précédant votre accouchement ;
  • bénéficiaire de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire ou encore d’une pension militaire d’invalidité.

 

Forfait hospitalier et autres coûts non pris en charge par la Sécurité sociale

Mis à part le fameux ticket modérateur, vous devez normalement régler d’autres frais, même si vous êtes pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie. Ils comprennent :

  • les dépassements d’honoraires des médecins et chirurgiens, assez courants dans les cliniques privées non conventionnées ;
  • le forfait hospitalier, qui correspond à une participation aux frais d’hébergement et d’entretien pour l’intégralité de votre séjour, jour de sortie compris. Depuis le 1er janvier 2018, il est fixé par arrêté ministériel à 20 € par jour en hôpital et clinique contre 15 € en service psychiatrique d’un établissement de santé ;
  • les frais de confort (ex. : chambre individuelle, télévision) ;
  • divers frais annexes, comme les frais de garde de votre enfant durant votre hospitalisation.

Bon à savoir : l’exonération du forfait hospitalier est envisageable dans certaines situations. Par exemple, vous ne devez pas le régler si vous êtes victime d’un accident du travail, d’un acte terroriste ou encore si vous êtes hospitalisée pendant vos 4 derniers mois de grossesse.

 

Garantie Hospitalisation : une bonne solution pour financer le reste à charge

En définitive, même avec une prise en charge à 100 % de la Sécurité sociale, le coût d’une hospitalisation peut être très élevé… Heureusement, il existe des solutions pour diminuer la facture. Avec la souscription d’une garantie hospitalisation chez Filiassur, vous bénéficiez par exemple d’indemnités en cas d’hospitalisation. Celles-ci pourront être utilisées pour payer les frais non remboursés par la Sécurité sociale ou par votre complémentaire santé.

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.

Alimentation – Mieux manger pour mieux vivre

MIEUX MANGER

Et si on profitait de 2023 pour prendre soin de son alimentation et de son corps ? Il suffit de changer quelques détails dans votre assiette pour améliorer votre espérance de vie et votre moral !

Afin d’avoir une meilleure alimentation, pas la peine de bouleverser vos habitudes du tout au tout ! Voici quelques petites astuces qui feront déjà beaucoup de bien à votre corps et à votre mental, et vous permettront de démarrer l’année du bon pied.

Réduire les portions de viande

La viande contient des graisses saturées, ce qui augmente le cholestérol et le risque de maladies cardiovasculaires. Il vaut mieux donc réduire sa consommation et miser plus sur les légumes qui apportent des protéines de qualité.

Consommer des aliments naturels

Il existe plusieurs aliments naturels, bons pour la santé et pas chers !

  • Le curcuma –  À consommer saupoudré ou sous forme de gélule, le curcuma est très efficace contre les douleurs articulaires ou les tendinites. Il aide aussi à produire de la sérotonine, l’hormone de la bonne humeur, et aide à améliorer la mémoire.
  • Le citron – Riche en vitamine C et bon pour la digestion, il aide à éliminer les toxines et à éviter la fatigue. Dans l’idéal, on le boit pressé dans un verre d’eau, à jeun, le matin.
  • Le gingembre –  Efficace contre la nausée et le mal des transports, il est aussi anti-inflammatoire et antispasmodique. Il renforce les défenses immunitaires et réchauffe l’organisme, idéal donc pour l’hiver. A consommer frais, râpé ou en infusion.
  • La grenade – Anti-oxydant et anti-inflammatoire, ce fruit protège des troubles neurologiques et améliore l’endurance. Le mieux et de le consommer frais plutôt qu’en jus.
  • Les algues – Riches en protéines, les algues sont également un anti-stress naturel. Elles peuvent se consommer crues, en poudre ou en tartare.

Boire du thé vert

Les vertus du thé vert sont nombreuses.

  • Un bouclier contre les mauvaises habitudes alimentaires

Il réduit les effets d’une mauvaise alimentation grâce à un antioxydant  puissant qui absorbe les graisses et limite la prise de poids. Il est encore plus efficace consommée dans le cadre d’un régime alimentaire sain.
Le thé vert agit également comme coupe-faim. C’est donc un moyen d’arrêter le grignotage entre les repas.

  • Un allié pour le cerveau

Le thé vert permet de réduire le stress mental et physique en produisant un effet relaxant, et aide aussi à renforcer l’attention.

  • Une défense face au cancer

Le thé vert aide à renforcer les défenses naturelles des patients atteints du cancer et permet même parfois de ralentir la progression de certains cancers, comme celui du sein, de la peau et de la prostate.

  • Un anti-vieillissement naturel

Grâce à ses antioxydants, le thé vert permet de ralentir le vieillissement de la peau et l’apparition des rides. Il aide aussi à garder le cœur en bonne forme, à condition de le boire nature, sans sucre ni lait.

Attention :  à forte dose le thé vert peut s’avérer toxique pour le foie. Il peut aussi avoir des effets indésirables s’il est consommé en même temps que l’aspirine ou qu’un anticoagulant.

Garder le cap !

Bien manger, ce n’est donc pas si compliqué : il suffit de miser sur des aliments entiers et naturels, limiter la consommation de produits animaux et éliminer au possible les produits transformés.

Avec ces quelques petits changements, ce n’est pas seulement à son corps que l’on rend un service. C’est aussi le mental qui s’en voit bénéficié. En effet, il a été prouvé qu’une alimentation équilibrée chez des patients dépressifs a eu, au bout de 12 semaines, des résultats incroyables : amélioration de l’humeur, baisse des symptômes dépressifs et augmentation du taux de rémission.

C’est donc pour notre bien-être autant physique que mental qu’il vaut mieux miser sur des habitudes saines, et à long terme !

 

Sources : Le Parisien, La Dépêche, Ouest-France, Journal de Montréal