Mutuelle et intérim : quelles sont les conditions pour en bénéficier ?

mutuelle intérimaire

Avec environ 800 000 intérimaires recensés chaque mois par Pôle Emploi ces dernières années, le secteur de l’intérim prend une place conséquente sur le marché du travail en France. Comme les salariés traditionnels, les intérimaires bénéficient de la mutuelle obligatoire d’entreprise, mais dans des conditions quelque peu différentes.

 

Quelles sont les caractéristiques spécifiques de la mutuelle santé en intérim ?

 

Pendant tout le temps où il est en mission, l’intérimaire doit bénéficier aux yeux du Code du travail des mêmes droits que les autres salariés de l’entreprise qui l’emploie (en termes de rémunération, de restauration, etc.). En matière de complémentaire santé, la loi sur la mutuelle obligatoire en entreprise entrée en vigueur début 2016 s’applique également aux intérimaires. À une condition que nous verrons ensuite, les intérimaires peuvent eux aussi bénéficier d’une complémentaire santé financée au minimum à 50 % par leur employeur (qui est ici leur agence d’intérim).
Cette complémentaire santé en intérim doit, elle aussi, inclure un panier de soins, couvrant au minimum les mêmes garanties que la mutuelle d’entreprise obligatoire d’un salarié traditionnel. En revanche, la portabilité de la mutuelle santé intérim s’arrête à 7 mois maximum après la fin de la mission, contre 12 mois pour les salariés en CDI, et cette mutuelle intérim porte un nom spécifique (Intérimaires Santé).
Autre caractéristique spécifique à l’intérimaire, ce dernier peut bénéficier d’une aide financière venant du Fonds d’action sociale du travail temporaire (FASTT) qui peut prendre en charge jusqu’à 50 % de la cotisation restée à la charge du salarié. La mutuelle intérimaire avec FASTT vous reviendra par exemple à seulement 25 % de la cotisation globale si l’employeur se contente de payer les 50 % minimum exigés par la loi.

 

Quelles sont les conditions pour bénéficier d’une mutuelle intérimaire ?

 

L’intérimaire doit remplir une condition de temps de travail pour bénéficier automatiquement de la mutuelle santé obligatoire d’entreprise, ce qui n’est pas le cas pour les autres salariés. Il doit ainsi avoir cumulé 414 heures de travail au cours des 12 derniers mois écoulés, pour se retrouver couvert à partir du premier jour du mois suivant le franchissement de ce plafond.
Pour les intérimaires ne souhaitant pas attendre ce délai, ils peuvent faire une demande d’adhésion par anticipation, dont le coût sera alors entièrement à leur charge jusqu’à ce qu’ils aient dépassé les 414 heures de travail.
Pour les intérimaires en CDI ou en contrat de mission de plus de 3 mois, l’adhésion à la mutuelle intérimaire est en revanche automatique, et la couverture démarre dès le premier jour du contrat de travail.

 

La mutuelle intérim, obligatoire ou pas ? Existe-t-il des alternatives ?

Cette mutuelle intérim obligatoire pour l’entreprise peut être refusée par l’intérimaire (qui devra alors faire une demande de dérogation) dans deux cas principaux :

  • s’il effectue une mission courte (3 mois ou moins) ;
  • s’il est déjà couvert au début de son contrat de travail : en tant qu’ayant droit, par la Complémentaire santé solidaire (qui regroupe désormais la couverture mutuelle universelle et l’aide au paiement d’une complémentaire santé), ou encore par sa propre mutuelle santé.

En effet, certains travailleurs habitués à avoir une activité partielle, tels que les intérimaires, préfèrent souscrire une complémentaire santé plus complète, les couvrant à chaque moment de l’année, même en cas d’inactivité prolongée. C’est ce que propose la complémentaire santé Filiassur qui vous garantit notamment un remboursement complet de vos frais d’hospitalisation et médicaux, ainsi qu’une protection optimale pour toute votre famille. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur cette assurance, vous pouvez consulter la fiche Solution Santé du spécialiste Filiassur.

 

Chiens, chats : les français aux petits soins pour leurs animaux

SOINS CHIENS CHATS

 

Un foyer sur deux possède un animal de compagnie. Un chiffre qui témoigne d’une vraie passion et d’un phénomène de société, ainsi que le prouve le salon Animal Expo, qui se tient ce week-end.

Au fil des millénaires, certains animaux sauvages sont devenus domestiques et les plus proches des humains sont aujourd’hui de compagnie. A mesure que les modes de vie changent, les comportements vis-à-vis des bêtes évoluent.

Près d’un foyer français sur deux possède ainsi un animal de compagnie, qui fait partie intégrante de leur famille et de leur culture. Dans une société de plus en plus urbanisée, ces derniers sont un véritable phénomène de société avec les bienfaits qu’ils procurent et l’engouement massif créé autour d’eux, qui touche toutes les catégories sociales de la population.

L’animal favorise le lien social

Doux et affectueux, l’animal de compagnie, par sa simple présence, rassure. On lui attribue des qualités humaines telles que fidélité, écoute, respect et partage. L’animal est source de satisfaction pour toute la famille, il comble la solitude ou parfois un certain manque affectif tout en facilitant les interactions sociales. C’est à la fois un confident et une source de motivation.

 

Un rôle de médiateur, un rôle actif

L’animal joue aussi un rôle éducatif pour l’enfant en lui apprenant à devenir responsable. Chiens, chats, chevaux sont source de bienfaits pour le développement psychologique des enfants, y compris les autistes et handicapés mentaux, en jouant un rôle de médiateur. La médiation animale et la zoothérapie font de plus en plus d’adeptes.

De plus, l’animal constitue un vecteur d’émotions adapté aux soucis de certains adultes. Sa présence est très appréciée chez les personnes âgées, handicapées ou malades. En effet, selon Isabelle de Tournemire, fondatrice de l’association Parole de chien, «au-delà de sa compagnie, la présence du chien est une aide précieuse souvent sollicitée dans les maisons de retraite ou les hôpitaux pour permettre la stimulation et motiver les échanges». Posséder un animal favorise l’activité physique.

Ainsi, selon des études scientifiques, ce serait bon pour la santé en luttant contre le stress, en réduisant les risques cardiovasculaires, et selon l’association American Heart, c’est même bon pour le cœur.

Source : DirectMatin.fr

 

Qu’est-ce qu’une complémentaire santé ?

complémentaire santé

Si on entend beaucoup parler de complémentaire santé, peu de gens sont capables d’en donner une définition précise… À quoi sert-elle exactement ? Est-elle obligatoire pour tout le monde ? Quelle différence avec la mutuelle santé ? Nous répondons à toutes vos questions sur ce dispositif !

 

Complémentaire santé : définition

Une complémentaire santé est un dispositif complétant la prise en charge de l’Assurance maladie. En fonction des circonstances, elle peut ainsi prendre tout ou partie des frais non remboursés par la Sécurité sociale, comme les dépassements d’honoraires des médecins par exemple. À noter également que, depuis l’ANI (accord national interprofessionnel) de 2016, la complémentaire santé est obligatoire pour les salariés : sauf cas particulier, ils doivent adhérer à la complémentaire de leur entreprise. En revanche, ce dispositif reste facultatif pour toutes les personnes « non salariées », comme les freelances et les commerçants par exemple.

 

Pourquoi prendre une complémentaire santé ?

Vous n’êtes pas salarié ? Si rien ne vous oblige à souscrire une complémentaire santé, cela reste tout de même vivement conseillé. En effet, le restant à votre charge peut être très lourd en fonction des soins dont vous avez besoin : les remboursements de l’Assurance maladie restent notamment faibles dans le domaine dentaire et le domaine optique… Sans parler des avantages que peut vous offrir une complémentaire santé en cas d’hospitalisation, comme la prise en charge de vos frais de confort (ex. : chambre individuelle, TV) et de vos frais de transport par exemple !

Bon à savoir également : si vous êtes salarié, rien ne vous interdit de renforcer votre couverture d’entreprise avec une offre supplémentaire. On parle alors plus précisément de « surcomplémentaire santé ».

 

Quelle est la différence entre une complémentaire santé, une mutuelle et une assurance santé ?

Il n’y a pas vraiment de différence entre une mutuelle et une complémentaire santé : ces mots sont utilisés comme des synonymes dans le langage courant… Même s’il s’agit en réalité d’un léger « abus de langage ». Car, au sens strict du terme, la mutuelle désigne l’organisme qui délivre la complémentaire, pas le contrat en lui-même. Quant à la différence entre complémentaire et assurance santé, elle tient seulement aux établissements qui les délivrent ! En effet, ces deux contrats ont exactement la même fonction. À savoir : couvrir au maximum les frais non pris en charge par l’Assurance maladie. Cependant :

  • les complémentaires sont délivrées par des mutuelles. Il s’agit d’organismes à but non lucratif obéissant au Code de la mutualité ;
  • les assurances santé sont délivrées par des compagnies d’assurances, régies par le Code des assurances.

 

Vous pouvez donc aussi bien opter pour une complémentaire qu’une assurance santé ! L’essentiel est de comparer les garanties et les tarifs avant d’arrêter votre choix. Par exemple, l’Assurance Complémentaire Santé Filiasur propose une protection optimale à toute votre famille : n’hésitez pas à demander votre devis en ligne !

 

Qu’est-ce que la complémentaire santé solidaire ?

Si vos revenus sont faibles, vous pouvez adresser une demande de complémentaire santé solidaire (CSS) à votre centre de Sécurité sociale. Lancée le 1er novembre 2019, cette aide unique nécessite très peu démarches et de justificatifs. Elle remplace ainsi avantageusement les anciennes « couverture maladie universelle complémentaire contributive » (CMU-C) et « l’aide à la complémentaire santé » (ACS), que de nombreux Français peinaient à activer.

 

En pratique, la CSS coûte de 0 à 1 euro par jour maximum. Elle vous dispense de tout « reste à charge », et vous permet aussi de ne pas avancer les frais dans de nombreuses situations (ex. : consultations, achat des médicaments en pharmacie). Pour l’obtenir, 2 grandes conditions :

  • bénéficier de l’Assurance maladie ;
  • ne pas dépasser un certain plafond de ressources, variable selon la composition de votre foyer.

 

À titre indicatif, si vous vivez seul vous pouvez prétendre à la :

  • CSS gratuite avec un revenu annuel inférieur ou égal à 8 951 € ;
  • CCS avec participation de 1 € par jour, si votre revenu n’excède pas 12 084 €.*

 

 

*Source : gouvernement.fr, « Plafonds de ressources applicables au 1er novembre 2019 en métropole »

VSL, ambulance … : quelle prise en charge pour un transport médical ?

prise en charge vsl et ambulances

Plus que d’autres catégories de la population, les seniors peuvent avoir besoin de recourir à une ambulance ou un transport en VSL (véhicule sanitaire léger), pour une consultation médicale, des soins, une hospitalisation, ou pour rentrer chez eux après une intervention ou un séjour à l’hôpital. En effet, s’ils vivent seuls, loin de leurs enfants, ou si leur conjoint n’est pas en mesure de les conduire, la prise en charge en transport médical est la seule solution. Sous certaines conditions, les transports en VSL bénéficient d’un remboursement par l’assurance maladie et/ou la complémentaire santé.

 

Quelles sont les conditions pour une prise en charge en transport médical de type VSL ?

Le type de transport médical par lequel la personne âgée sera prise en charge dépend en premier lieu de son état de santé général :

  • Si elle est en mesure de se déplacer seule et d’être accompagnée par un proche, elle devra se rendre aux rendez-vous médicaux, examens ou dans l’établissement de soins par ses propres moyens, en véhicule personnel ou en transports en commun.
  • Si la personne âgée a besoin d’une assistance pour ses déplacements, ou d’un strict respect de conditions d’hygiène pendant ses déplacements, ou s’il y a un risque d’effets secondaires à la suite d’un examen ou d’une intervention, elle pourra bénéficier du transport médical en taxi ou en VSL.
  • Si la personne âgée ne peut se déplacer qu’allongée, doit être surveillée, brancardée ou transportée sous oxygène, une ambulance la prendra en charge.

 

Quelle est la prise en charge par la CPAM pour un transport en VSL ou en ambulance ?

C’est le médecin qui établit la prescription médicale de transport, en y précisant le type de transport. Cette prescription doit être rédigée avant le transport, sauf si la personne âgée est emmenée aux urgences – dans ce cas-là, la prescription est rédigée par le médecin après la prise en charge aux urgences. Pour bénéficier d’un remboursement du transport par la Sécurité sociale (en ambulance, VSL, taxi, véhicule personnel, transports en commun), il est nécessaire de remplir les conditions suivantes :

  • Avoir une prescription médicale ou une convocation d’un médecin expert, du médecin-conseil de l’Assurance maladie, d’un fournisseur d’équipement médical.
  • Demander un accord préalable à l’Assurance maladie pour un transport de plus de 150 kilomètres aller, ou de plus de quatre transports de plus de 50 kilomètres aller sur une durée de deux mois pour un même traitement ; ou si le transport doit s’effectuer en avion ou en bateau sur une ligne régulière. La demande d’accord préalable est remise par le médecin, il faut l’envoyer à l’Assurance maladie. L’absence de réponse sous 15 jours vaut accord.
  • En cas d’affection longue durée (ALD), la personne âgée est remboursée des frais de transport si le déplacement est lié à l’ALD et si elle est reconnue comme n’étant pas en capacité de se déplacer seule. La démarche est la même que pour la demande d’accord préalable.

Pour demander un remboursement des frais de transport médical en VSL ou ambulance, il faut envoyer à l’Assurance maladie la prescription médicale, l’accord préalable (s’il a été nécessaire) et le justificatif des paiements effectués. L’Assurance maladie et la complémentaire santé étant en général en lien, le remboursement par votre mutuelle sera automatique.

 

Quel remboursement pour les frais d’ambulance ou de VSL par votre mutuelle ?

L’Assurance maladie rembourse les frais de transport à 65 %, sauf dans une douzaine de cas pour lesquels elle les rembourse à 100 % (affection longue durée exonérante, transport entre deux établissements, personnes titulaires d’une pension d’invalidité, etc.). Il reste donc 35 % à charge de l’assuré. Vous pouvez demander une prise en charge par votre mutuelle du prix de l’ambulance, du taxi ou du VSL, mais aussi des frais liés à l’usage de votre véhicule personnel ou du coût des transports en commun.

 

Pour renforcer la protection de votre santé, Filiassur Santé vous fera bénéficier d’une assistance, d’un soutien financier, d’une protection juridique, ainsi que de prélèvements mensuels sans frais.

 

Qu’est ce qu’une assurance obsèques et quels en sont les avantages et les inconvénients ?

ASSURANCE OBSEQUES

Filiassur fait le point sur l’assurance obsèques et vous informe sur les différentes possibilités de choix une fois le moment venu.

500 000 Français souscrivent chaque année un contrat obsèques.

En moyenne, le coût des obsèques en France se situe aux alentours de 4 000 €.
Le montant peut être plus élevé, notamment en cas un rapatriement ou transfert de corps.

 

  • Qu’est-ce qu’une assurance obsèques ?

L’assurance obsèques est un contrat d’assurance-vie prenant en charge le financement des obsèques ne comportant aucune stipulation de prestations funéraires. En plus du versement d’un capital ou d’une rente à son bénéficiaire, le contrat obsèques permet de prendre en charge l’organisation et le déroulement des funérailles du défunt.

Lorsqu’un membre de la famille ou un ami décède, en tant que proche, vous avez tout à régler. Outre les aspects financiers, vous rencontrez une série de problèmes pratiques comme le choix de la société de pompes funèbres, la mise en œuvre de l’organisation des obsèques et des formalités administratives qui s’en suivent.
Ce sont des choses difficiles à gérer durant cette période délicate. Un contrat d’assurance obsèques permet dans tous les cas de couvrir les frais des obsèques, mais en fonction de la compagnie proposant les obsèques et du type de police, des services supplémentaires peuvent être inclus, tels que :

– L’accueil téléphonique ;
– Le rapatriement ;
– L’organisation des obsèques ;
– Une assistance psychologique pour les membres de la famille ;
– Une assistance administrative pour aider les proches ;
– La prise en charge des formalités administratives ;
– Le service après décès etc.

  • Contracter une assurance obsèques

Lorsque vous souscrivez une assurance obsèques, vous déterminez vous-même la somme que vous souhaitez consacrer à vos funérailles. Puis, vous déterminez le temps sur lequel vous souhaitez étaler vos cotisations. Une prime mensuelle, trimestrielle ou annuelle est alors fixée. Vous réalisez, en quelque sorte, une épargne pour vos funérailles ; mais il s’agit bel et bien d’une assurance puisque le contrat prévoit une couverture de risque ; dans le cas où vous n’auriez payé qu’une seule année de prime, le bénéficiaire désigné du contrat recevra quand même le montant total du capital.
Mutuelle, assurance de prévoyance, Sécurité Sociale, Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, tous ces organismes peuvent aider au paiement des obsèques, sous réserve que les proches enclenchent les démarches.

  • Mutuelle santé : certaines mutuelles seniors incluent une garantie obsèques dans leur contrat. La prise en charge est souvent partielle et peut aller jusqu’à 2 000€.
  • Assurance de prévoyance : si le défunt avait souscrit une assurance dépendance, celle-ci comporte peut-être une garantie prévoyant le versement d’un capital décès au bénéficiaire désigné. Libre à lui d’utiliser ce capital au paiement des obsèques.
  • Sécurité sociale : si le défunt était salarié, chômeur indemnisé, bénéficiaire d’une rente invalidité ou d’une rente accident de travail ou de maladie professionnelle, la CNAM verse un capital décès aux bénéficiaires prioritaires (personnes à la charge du défunt au jour de son décès). Son montant est de 3 404€ depuis le 1er avril 2016.
  • CNAV : la personne qui aura payé les obsèques pourra en obtenir le remboursement partiel si la caisse de retraite doit une somme d’argent au moment du décès de l’assuré.

 

  • Les questions à se poser au moment de souscrire

Voici les questions importantes qu’ils convient de se poser au moment de la souscription d’une assurance obsèques :

– Pour quels risques suis-je couvert et pour quel montant ?
– Des services ou une assistance supplémentaire sont-ils prévus avant, pendant ou après les obsèques ?
– Dans quelle mesure l’assureur est-il spécialisé en la matière ?
– Puis-je communiquer mes dernières volontés pour mes funérailles ?
– Pour quelle somme dois-je idéalement m’assurer ?

Important : Vérifiez bien que le montant cotisé est bien indexé sur le coût de la vie ; vous éviterez ainsi que la somme déboursée pour vos funérailles ne soit pas suffisante pour respecter vos dernières volontés.

N’hésitez pas à prendre contact avec votre assureur pour discuter, avec lui, des différentes possibilités d’épargne et de contrat d’obsèques.

 

Sources :
http://www.previssima.fr/actualite/contrats-obseques-bien-le-lire-bien-se-faire-conseiller.html

http://www.dansnoscoeurs.fr/conseil/les-assurances-obseques https://www.assurprox.com/actualite-assurance-obseques/qui-paie-funerailles-absence-assurance-obseques-14395.html

Je suis hypertendu et je me soigne !

HYPERTENDU

En France, plus de 15 millions de personnes sont touchées par l’hypertension artérielle. Longtemps silencieuse, l’hypertension artérielle peut provoquer des complications : infarctus, attaques cérébrales… Le comité français de lutte contre cette affection rappelle quelques mesures à prendre.

  • Qu’est ce que l’hypertension artérielle ?

La tension artérielle correspond à la pression du sang dans les artères. Dans l’organisme, les artères jouent le rôle de mères nourricières. Elles permettent au cœur d’approvisionner le sang vers les différents tissus de l’organisme et donnent aux cellules l’oxygène indispensable à leur survie. L’hypertension se traduit par une pression anormalement forte du sang sur la paroi des artères. En situation de stress ou durant un effort physique, il est normal que la tension soit élevée. En revanche, chez les personnes hypertendues, la tension reste élevée tout le temps, que ce soit en période de repos ou d’activité intense.

D’où la nécessité d’adopter des habitudes de vie plus saines qui viennent compléter la prise de médicaments pour faire baisser la tension artérielle.

  • Comment réduire sa tension artérielle ?

Un maitre mot : changer ses habitudes alimentaires !

    • Diminuer sa consommation d’alcool et de café

En cas d’hypertension, il est primordial de diminuer sa consommation d’alcool : pas plus de trois verres de vin par jour pour les hommes, et deux verres pour les femmes. Pour le café, ne pas boire plus de 4 tasses de café par jour.

    • Ne pas faire d’excès de sel

Il faut en consommer moins de 6g par jour en cas d’hypertension. Il est alors préférable de retirer la salière de table. Il faut faire également attention à la quantité de sodium présent

dans certains plats et ingrédients : charcuterie, plats préparés, certaines conserves et fromages (roquefort, feta, ou bleu d’auvergne).

    • J’adopte le reflexe « margarine »

Il est indispensable d’éviter les graisses saturées autant que possible quand on a de la tension. Cette absence peut être comblée par la consommation de graisses végétales.

    • Evitez la viande et privilégiez la cuisson à vapeur pour vos aliments

Il faut choisir les viandes maigres et éviter le bœuf, le porc et le mouton, préférez le poisson et la volaille (sans la peau).

    • Pratiquer une activité physique

L’activité physique est essentielle, même modérée. Une demi-heure de marche par jour, le vélo, la natation sont de bons moyens pour bouger sans trop forcer.

    • Consommer beaucoup de fruits et légumes

Les fruits et légumes sont notre allié santé : en consommer tous les jours est fortement conseillé en ciblant ceux apportant du potassium, l’ami de votre tension. Les fruits champions de la minceur sont également à privilégier : le kiwi pour sa vitamine C, le pamplemousse pour son apport calorique faible et une teneur en glucides modérée, le melon pauvre en glucides, la pomme pour son effet coupe-faim dû à ses fibres.

Pour bénéficier de conseils et suivre un programme pour son traitement, vous pouvez vous rendre ici : http://www.comitehta.org/

Le Comité français de lutte contre l´hypertension artérielle
CFLHTA
50, rue du Rocher
75008 Paris