Filiassur est un courtier en assurance de prévoyance auprès des particuliers

Courtier en assurance de prévoyance pour les particuliers

Qu’est-ce qu’une assurance de prévoyance ?

L’assurance de prévoyance est une assurance qui couvre des personnes physiques contre les aléas rencontrés tout au long de leur existence.

L’assurance de prévoyance couvre les assurés lors des moments importants de leur vie :

  • En cas de vie (sous forme de capitalisation)
  • En cas de décès
  • En cas de maladie
  • En cas d’incapacité/invalidité

Cette assurance peut se décliner en de nombreux contrats :

  • Les assurances complémentaires santé
  • L’assurance des accidents corporels
  • L’assurance vie
  • L’assurance décès
  • L’épargne retraite
  • L’assurance dépendance
  • L’assurance des animaux domestiques
  • L’assurance de loisirs
  • L’assurance chômage
  • L’assurance emprunteur (en cas de prêt immobilier)

Elle peut protéger :

  • La personne même de l’assuré
  • La famille ou les proches de l’assuré

et peut-être souscrite de manière :

  • Individuelle
  • Collective (contrats groupe)

Filiassur peut vous accompagner dans votre recherche d’assurance : accidents corporels,  décès, dépendance, chômage, hospitalisation et assurance apportée aux chiens/chats.

Filiassur propose certains de ses contrats d’assurance avec une assistance

Contrat d'assurance et assistance

Qu’est-ce que l’assistance dans un contrat d’assurance ?

L’assurance et l’assistance sont intimement liées. Difficile d’imaginer l’une sans l’autre, tant les disciplines sont complémentaires. Apporter un maximum de services en plus d’une bonne indemnisation en cas de sinistre sont les deux souhaits des assurés. Derrière le contrat et le sinistre, il existe deux métiers différents, des sociétés très liées, des mentalités qui se rapprochent et des marchés communs.

La définition de l’assistance est le fait d’apporter une aide, un secours à quelqu’un qui se trouve confronté à un problème, un obstacle ou un danger. L’assistance est un apport extérieur permettant de surmonter un obstacle.

Si la définition est claire, le rôle dans le monde de l’assurance l’est tout autant : l’assurance vous apporte une indemnisation, une compensation financière suite à un sinistre et l’assistance vous apporte un appui matériel et logistique lors de ce même sinistre.

Longtemps, et à juste titre, l’assistance a été associée pour les Français au voyage, et particulièrement aux voyages à l’étranger. Souvenez-vous des campagnes publicitaires des grandes compagnies d’assistance dans les années 70 puis 80 et 90 : des paysages lointains, des voyageurs dans le pétrin et l’assistance en soutien.

Prestation de service

La réalité est bien celle-ci, l’assistance est née des problèmes des voyageurs. Quand les Français ont franchi les frontières pour partir en voyage, ils se sont heurtés à des soucis qui sont difficiles à résoudre loin de chez soi. Les voyagistes ont appuyé dans ce sens pour couvrir leurs clients des désagréments d’un séjour dans l’Espagne de Franco ou dans les premiers clubs de vacances en Afrique.

Depuis, l’assistance s’est rapprochée des personnes. D’abord en s’intéressant aux problèmes plus quotidiens.

Les assureurs l’utilisent comme une prestation de service. Lors d’un sinistre, il fallait pouvoir proposer quelque chose de plus qu’une indemnisation. Et l’assistance pouvait répondre à la demande en soutien logistique des assurés. Elle entre donc dans la vie quotidienne, d’abord des automobilistes, puis les personnes malades et maintenant à peu près tous ceux qui seraient confrontés à un désagrément (garde d’enfant, préparation à la retraite et même orientation scolaire !).

Quand l’assistance fait dans l’assurance

L’assistance est complètement adossée à l’assurance, mais elle tend elle aussi à devenir « assureur ». On parle parfois « d’assuristance », néologisme créé par les professionnels pour parler de contrats d’assistance auxquels sont ajoutés des garanties d’assurance.
C’est par exemple le cas d’une « assurance voyage » qui mêle l’assurance annulation (remboursement de tout ou partie du séjour en cas d’annulation couverte) et assistance (rapatriement médical par exemple…..).

Sans être véritablement en concurrence avec les assureurs, les sociétés d’assistance se placent sur des marchés plus ciblés mais entendent au final proposer les mêmes garanties, en s’associant avec les assureurs mais en gardant leur marque pour la commercialisation. Tout l’inverse de ce qui se passait jusqu’à présent.

Ce bouleversement reste toutefois limité à la partie visible par les clients, puisque toutes les grandes sociétés d’assistance appartiennent aux grands assureurs pour lesquels – ou avec lesquelles- elles travaillent.

Source : news-assurances.com – Benoit Martin – 22 mai 2009

La dépendance, cela coûte cher, très cher !..

En situation de dependance, filiassur vous apporte des solutions adaptées

Qui doit faire face aux frais liés à la perte d’autonomie ?

Les dépendants

En premier lieu et en tout état de cause, ce sont les personnes dépendantes qui doivent assumer les dépenses liées à leur perte d’autonomie. Selon leur degré de dépendance, plusieurs solutions s’offrent à elles, mais toutes onéreuses. Si leur état le nécessite, certaines personnes devront être placées soit en maison de retraite ou bien en  EHPAD, il leur en coutera entre 1800 et 2000 euros par mois en moyenne, cela n’est pas accessible à tout le monde, beaucoup  n’ont pas les revenus suffisants pour envisager cette solution. A titre d’information, la pension moyenne d’une femme à la retraite est d’environ 900 euros par mois.

Même si ces personnes dépendantes sont capables de rester vivre chez elles, , il reste à leur  charge entre 350 et 530 euros par mois selon la Dress (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) malgré leurs revenus et l’éventuelle allocation ( Allocation Personnalisée d’Autonomie) qu’elles peuvent percevoir de leur département. Les principales dépenses consistent à embaucher une personne au quotidien qui va les aider  pour les actes de la vie courante qu’elles ne peuvent effectuer seules, il est également indispensable d’ adapter un minimum son domicile à sa dépendance…..Face à cela, les personnes dépendantes sont donc obligées de puiser dans leur patrimoine, lorsqu’elles en ont un, afin de faire face à ce surcoût ou bien demander une aide financière à leurs proches .

Les aidants

En France à ce jour, on compte 4.3 millions de personnes aidant un proche ayant perdu tout ou partie de son autonomie.

Le rôle des aidants est de plusieurs ordres, dans un premier temps, d’assurer une présence plus ou moins importante selon leurs possibilités, ensuite organiser les soins, le quotidien de la personne dépendante mais ils peuvent aussi se substituer  financièrement au règlement des dépenses importantes liées à l état de dépendance de leur proche.

Certains aidants voient leur vie littéralement changer lorsqu’ils se trouvent confronter à la perte d’autonomie d’un proche. En effet, en fonction du degré de dépendance, ils doivent parfois aménager leur temps de travail afin de se libérer du temps, l’état du proche nécessitant une présence accrue. De même, ils empiètent sur leur temps libre pour faire face aux besoins quotidiens ainsi qu’aux démarches nécessaires à l’organisation de la vie du malade. Ils sont parfois même décisionnaires lorsque leur proche dépendant est mis sous tutelle.

Face à cela et malgré le lien affectif qui les lie à la personne dépendante, les aidants se plaignent de fatigue, de stress, d’avoir mis leur vie professionnelle entre parenthèses, de ne plus avoir de temps libre ou très peu. Selon une étude de la Dress, environ 40% des personnes qui aident une personne lourdement dépendante se disent « dépressifs ».

Malgré le rôle important joué par les aidants auprès des personnes dépendantes, ceux-ci n’ont pas de statut officiel dans la société et de ce fait n’ont pas de reconnaissance. Ce statut leur permettrait par exemple de faire jouer leurs droits auprès de leur employeur afin de pouvoir aménager leur temps de travail.

La société

Aujourd’hui, Le nombre de personnes dépendantes en France s’élève à 1, 32 millions.

Face à ce chiffre il convient de mentionner celui du montant des dépenses liées à la dépendance qui représente 34 milliards d’euros , dont 22 milliards à la charge de l’Etat , de la sécurité sociale et des départements, le reste étant à la charge des familles soit 12 milliards d’euros.

Ces 34 milliards d’euros servent à financer tous les acteurs de la prise en charge de la dépendance : les professionnels des soins à domicile, les médecins traitants, les hôpitaux et cliniques, les centres de soins de suite et de rééducation, la construction et la gestion des EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) mais ils servent aussi à verser l’APA (l’allocation personnalisée d’autonomie) qui représentait en 2008, 4,8 milliards d’euros pour 1 115 000 bénéficiaires.

La prévision pour 2040 est d’atteindre les 2 millions de personnes dépendantes. Le montant des dépenses va donc encore s alourdir. En effet, selon les prévisions, à partir de 2040 il faudra trouver 10 milliards d’euros supplémentaires par an.

Face à tous ces chiffres alarmants, il est urgent que le gouvernement mette en place, la réforme de la dépendance afin que l’on puisse dès aujourd’hui trouver les solutions à ces 10 milliards d’euros annuels. Plusieurs hypothèses sont déjà avancées : une journée de solidarité pour la dépendance, une cotisation obligatoire, un prélèvement sur les salaires, augmenter la CSG….Parmi toutes ces hypothèses, il semble que la ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l’autonomie, Madame Michèle DELAUNAY, envisage de privilégier la prévention afin de retarder au maximum la dépendance ceci permettant de réaliser des économies non négligeables ainsi que le maintien à domicile le plus longtemps possible de la personne dépendante.

L’Europe met 620 millions pour lutter contre le chômage des jeunes

Lutte contre le chômage

Le ministre du Travail François Rebsamen a annoncé que le gouvernement cofinancera avec l’Europe 45 000 emplois d’avenir supplémentaires en 2014.

 

La Commission européenne et le gouvernement français ont lancé le mardi 3 juin un programme national contre le chômage des jeunes, doté de 424 millions d’euros de fonds européens pour 2014-2015, une initiative qui doit toucher « environ un million de jeunes Français ».

Déclinaison française de l’initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ) décidée en juin 2013 par le Conseil européen, ce programme cible les jeunes sans emploi qui ne suivent ni études, ni formation.

Selon le ministère du Travail, les fonds seront affectés à des dispositifs déjà existants, comme le contrat d’insertion dans la vie sociale (Civis), la formation des jeunes en emploi d’avenir ou la « garantie jeunes » actuellement expérimentée dans 10 territoires.

Le programme bénéficiera aux 13 régions les plus touchées par le chômage des jeunes – Aquitaine, Auvergne, Centre, Champagne-Ardenne, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Nord-Pas-de-Calais, Picardie et les cinq départements d’outremer -, et certains territoires des régions Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Midi-Pyrénées.

« Trois types d’actions prioritaires »

Ces régions vont « mener trois types d’actions prioritaires: le repérage et le suivi des jeunes décrocheurs, l’accompagnement personnalisé des jeunes en rupture, et l’insertion professionnelle par l’apprentissage, la formation ou l’immersion », a déclaré le ministre du Travail François Rebsamen lors du lancement du programme.

« L’initiative pour l’emploi des jeunes profitera directement à environ un million de jeunes Français », a déclaré Laszlo Andor, commissaire européen chargé de l’emploi lors du lancement.

L’initiative s’inscrit dans la garantie européenne pour la jeunesse, qui vise à proposer une solution – emploi, formation, reprise des études, apprentissage – à tous les jeunes Européens éloignés du marché du travail.

« Pour la France, le défi est de mieux coordonner les services publics, notamment celui de l’emploi, et de pouvoir atteindre les jeunes sortis du système qui ne sont pas inscrits à Pôle emploi« , a expliqué à la presse Laszlo  Andor.

1,3 milliard d’euros pour les emplois d’avenir

Le programme opérationnel national lancé mardi sera complété par un autre, régional, doté de 196 millions d’euros sur 2014-2015 alloués directement aux régions. Il portera l’enveloppe européenne contre le chômage des jeunes à 620 millions d’euros.

Cette enveloppe globale provient à parts égales de l’initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ) et du Fonds social européen (FSE). A cette somme s’ajoute un cofinancement de l’Etat à hauteur de 40 millions d’euros.

En comparaison, 1,3 milliard d’euros ont été inscrits au budget 2014 pour les seuls emplois d’avenir, destinés aux jeunes pas ou peu diplômés.

A l’échelle de l’Union européenne, l’IEJ est dotée de six milliards d’euros qui seront répartis entre 20 Etats-membres.

Les dirigeants européens se réuniront de nouveau dans deux ans pour tirer un bilan de l’initiative pour l’emploi des jeunes, et éventuellement lui accorder une rallonge budgétaire si nécessaire, a indiqué Laszlo  Andor à la presse. Aucun objectif chiffré de baisse du chômage des jeunes n’a été fixé.

Parallèlement, le gouvernement a annoncé mardi le financement de 45 000 emplois d’avenir supplémentaires en 2014, qui viendront s’ajouter aux 50 000 initialement prévus. Le coût de cette rallonge sera de 500 millions d’euros et s’échelonnera entre 2014 et 2017, a-t-on appris auprès du ministère du Travail.

Plus de 26 millions de personnes sont au chômage en Europe, dont 5,6 millions de moins de 25 ans. En France, le taux de chômage des jeunes, mesuré par l’Insee, atteignait 22,8% au 4e trimestre 2013.

Source challenges.fr 03-06-2014

Quelle assurance en cas d’accident lors de la garde de son enfant ?

Accident garde d'enfant et assurance filiassur

QUELLE ASSURANCE EN CAS D’ACCIDENT LORS DE LA GARDE DE SON ENFANT ?

Tous les parents sont confrontés à la situation de faire garder leur enfant. De leur naissance jusqu’à l’âge de deux ou trois ans, nous faisons appel à différents types de personnes pour garder nos chères têtes blondes: assistante maternelle, crèche, garde à domicile ou grands-parents. Occasionnellement, nous faisons également appel à une baby-sitter, à des amis ou à des voisins. Mais savez-vous qu’en cas d’accident, selon le mode de garde choisi, plusieurs contrats d’assurance peuvent intervenir pour permettre l’indemnisation des dommages.

Quelle assurance lorsque votre enfant est responsable d’un accident ?

1- Votre responsabilité civile. En effet, vous êtes certainement couvert par la garantie responsabilité civile vie privée de votre contrat multirisques habitation en tant que parents responsables d’un enfant mineur.
Vous êtes responsable de vos employés de maison et des conséquences financières de leurs actes. Vérifiez donc auprès de votre assureur que vous êtes bien couverts en tant qu’employeurs de la personne qui garde votre enfant.
C’est également votre contrat qui interviendra si votre enfant est responsable d’un accident causé à une aide bénévole.

2- Dans certains cas, la responsabilité de l’assistante maternelle peut être recherchée, par exemple, pour défaut de surveillance.
Les assistantes maternelles employées par des particuliers doivent obligatoirement s’assurer « pour tous les dommages, quelle qu’en soit l’origine, que les enfants gardés pourraient provoquer et pour ceux dont ils pourraient être victimes » (loi n° 2005-706 du 27 juin 2005). Ainsi, tous les dommages provoqués par l’enfant accueilli sont couverts par le contrat d’assurance responsabilité civile de l’assistante maternelle. Vous devez lui demander une attestation d’assurance responsabilité civile professionnelle.
Les assistants maternels rattachés à une crèche sont couverts contre ces mêmes risques par leur employeur.

3- L’assurance de la garde bénévole, grands-parents, voisin, ami… (Sans rémunération)
Dans ce cas de figure, c’est au choix : la responsabilité civile de l’aide bénévole peut être garantie par son propre contrat multirisques habitation mais également par le vôtre. (Le baby-sitting, rémunéré ou non, est souvent assimilé à une garde bénévole).
Ces contrats interviennent également si vos enfants causent des dommages à autrui et que, de ce fait, la responsabilité de l’aide bénévole est mise en cause.
Votre responsabilité civile peut toujours être recherchée du fait d’un dommage causé par votre enfant mineur.

 

Quelle assurance lorsque votre enfant est victime d’un accident ?

  1. L’assurance de l’assistante maternelle
    Dans ce cas, sa responsabilité ou celle de la crèche peut être garantie par leurs contrats multirisques habitation.
  2. L’assurance de l’aide bénévole
    Dans ce cas, deux possibilités : la responsabilité peut être garantie par son propre contrat assurance multirisques habitation ou par le vôtre
  3. L’assurance de l’enfant
    Il existe plusieurs assurances permettant de couvrir votre enfant directement ; contrat individuel accidents, Garantie des Accidents de la Vie ou assurance scolaire.
    Ces formules assurent le versement d’un capital ou une indemnisation en cas d’invalidité ou de décès. En fonction des contrats souscrits, les frais de soins pourront également être remboursés en complément des prestations de la Sécurité sociale. Ces prestations sont versées qu’il y ait ou non un responsable de l’accident.

Quelle assurance lorsque la personne qui garde votre enfant est responsable d’un accident ?

1- Votre responsabilité peut être engagée en votre qualité d’employeur. Pensez à vérifier que votre contrat multirisques habitation vous couvre dans ce cadre.

2- Les aides bénévoles sont également couvertes par leur propre contrat multirisques habitation ou par le vôtre pour les dommages qu’ils causent à autrui.

Quelle assurance lorsque la personne qui garde votre enfant est victime d’un accident ?

1- Encore une fois, la vôtre. Selon les circonstances de l’accident, votre responsabilité pourra être retenue. Pensez à vérifier que votre contrat multirisques habitation vous couvre bien en tant qu’employeurs.

2- Dans le cas où votre enfant serait responsable d’un accident causé à l’aide bénévole, c’est encore votre garantie responsabilité civile qui interviendra.

Dans les autres hypothèses d’accidents dont serait victime l’aide bénévole, votre garantie responsabilité civile peut également jouer, mais seulement en l’absence totale de rémunération.

Les démarches à effectuer en cas d’accident

1- Votre enfant est victime d’un accident, vous devez :

  •  interroger la personne qui garde l’enfant pour connaître les circonstances exactes de l’accident
  •  demander à la personne qui garde votre enfant de déclarer l’accident à son assureur de responsabilité civile ou à la crèche (si elle dépend d’une crèche), le plus tôt possible, au plus tard dans les cinq jours ouvrés
  •  faire une déclaration dans les cinq jours ouvrés aux assureurs des contrats individuels accidents, Garantie des Accidents de la Vie, ou scolaire
  •  conserver les décomptes de remboursement de la Sécurité sociale et, éventuellement, ceux de l’assurance maladie complémentaire
  •  vous rapprocher de l’assureur de la crèche ou de la personne qui gardait l’enfant pour se mettre d’accord sur le montant de l’indemnisation et lui adresser des justificatifs du préjudice subi
  • en cas de désaccord avec la personne responsable ou avec la victime, saisir l’assureur de protection juridique si une garantie liée à ce domaine a été souscrite.

2- Votre enfant cause un accident :

Dans ce cas, la personne qui gardait votre enfant au moment de l’accident doit le déclarer à sa société d’assurance de responsabilité civile. Vous devez également faire la déclaration à votre propre assureur de responsabilité civile dans le cas où votre responsabilité serait mise en cause.

Source : FFSA (Fédération Française des Sociétés d’Assurance)

Filiassur se Bloctélise dans le cadre de la nouvelle liste d’opposition au démarchage téléphonique

Conformité bloctel

A partir du 1er juin 2016, chaque professionnel qui effectue des opérations de démarchage téléphonique auprès des consommateurs doit donc saisir le service Bloctel.

 

  • Qu’est ce que Bloctel ?

Bloctel est la liste d’opposition au démarchage téléphonique sur laquelle tout consommateur peut s’inscrire gratuitement afin de ne plus être démarché téléphoniquement par un professionnel avec lequel il n’a pas de relation contractuelle en cours, conformément à la loi n° 2014-344 du 17 mars 2014 relative à la consommation.

La loi précise qu’il est interdit à tout professionnel, directement ou par l’intermédiaire d’un tiers agissant pour son compte, de démarcher téléphoniquement un consommateur inscrit sur cette liste, à l’exception des cas énumérés par la loi. En particulier, vous pourrez toujours être appelé dans les cas suivants :

    • Par les professionnels chez qui vous avez un contrat en cours

    • Pour des appels de prospection en vue de la fourniture de journaux, de périodiques ou de magazines

    • Pour des motifs qui ne concernent pas la vente de biens ou de services tels que :

      • Les appels émanant d’un service public

      • Les appels émanant d’instituts d’études et de sondage

      • Les appels émanant d’associations à but non lucratif

      • Si vous avez communiqué de manière libre et non équivoque votre numéro afin d’être rappelé

La durée d’inscription sur la liste d’opposition est valable 3 ans. Par conséquent, 3 mois avant l’expiration de ce délai de 3 ans, les consommateurs sont contactés par courriel ou courrier postal pour renouveler, s’ils le souhaitent, l’inscription de leur(s) numéro(s) sur le registre d’opposition.

Les spams vocaux et les SMS, pour lesquels il existe déjà un numéro de signalement, ne sont pas concernés par Bloctel. Ils doivent être renvoyés par SMS au 33 700.

  • Comment Bloctel fonctionne t-il aujourd’hui chez Filiassur ?

Les campagnes de prospection commerciale font l’objet d’un contrôle Bloctel à fréquence mensuelle lorsque la campagne dure plus de 30 jours afin de s’assurer de la conformité des fichiers de prospection commerciale avec la liste d’opposition au démarchage téléphonique. Dans le cas d’une relation contractuelle existante (en tant que client), le contrôle Bloctel ne s’applique pas.

Pour rappel :

le service Bloctel remplace le service Pacitel qui a fermé le 1er janvier 2016 (les personnes qui étaient inscrites sur Pacitel doivent se réinscrire sur Bloctel).