Le sport est le mot clé pour avoir un moral d'acier, garder ses muscles en bon état, mais aussi protéger son cœur et ses os ! Il permet aussi d'assouplir les articulations et amplifier ses mouvements, et renforce le système immunitaire.
Le sport aide également à lutter contre l'ostéoporose et à améliorer le fonctionnement du système cardiovasculaire.
Selon ce que l'on souhaite améliorer, différentes sortes de sports sont conseillés par les experts.
Certaines activités modérées telles que le fitness et le tai chi seraient bonnes pour booster les fonctions cognitives, et de ce fait la mémoire.
D’un autre côté, le renforcement musculaire aurait un impact sur les fonctions exécutives telles que la logique, le raisonnement ou la stratégie.
Mais le secret pour optimiser les effets positifs du sport sur le mental réside surtout dans l'équilibre. Ainsi, il faudrait alterner entre des exercices de gymnastique douce et des activités de résistance modérée à intense.
De plus, le fait de varier deux sports différents réduit considérablement le risque de blessures.
Selon vos faiblesses, il faut choisir un sport et un terrain adéquat. Si vous avez des soucis au niveau des tendons ou des articulations (chevilles, genoux ou hanches), les sports comprenant des sauts réguliers et des impacts sont à proscrire. Il est aussi préférable d'éviter les surfaces dures comme le bitume car chaque mouvement sera assimilé comme un micro-traumatisme.
Si vous avez peu d’équilibre, évitez la course et la marche sur des chemins irréguliers tels que les terrains en pleine nature. Ainsi, cela réduira votre risque de trébucher et de vous faire une entorse.
Choisissez un matériel adapté : il est important d’avoir des chaussures correspondant à l’activité pratiquée pour bien amortir les chocs.
Pour le sport en terrain urbain optez pour une paire classique. En revanche, si vous allez marcher ou courir dans la nature prenez une paire spécifique, plus renforcée pour que vos pieds aient plus de stabilité. L’essentiel est que la chaussure soit confortable dès le moment où vous mettez le pied dedans.
Dans l’idéal, il est conseillé de faire des sessions de 45 minutes par jour, et ce autant de fois que possible dans la semaine.
Pour les plus actifs, le sport peut également aider à perdre du poids, muscler et sculpter son corps. Si le but est de vous amincir tout en vous entraînant efficacement, il convient de pratiquer du cardio. Parmi les sports qui brûlent le plus de graisse se trouvent : la boxe, le squash, le footing et la natation.
Pour les moins motivés, pas de panique ! Vous pouvez aussi vous dépenser en faisant du jardinage (206kcal/heure), du shopping (86kcal/heure) ou encore en promenant votre chien (136kcal/heure). 😉
Sources : La Dépêche, France TV Info
Bien que la Sécurité sociale couvre une grande partie du coût d'hospitalisation, certains frais sont toujours à la charge des patients. Et ce, même lorsque votre situation vous donne droit à une prise en charge de 100 % par l'Assurance Maladie, à de rares exceptions près...
Le prix d'une journée d'hospitalisation dépend de nombreux critères, dont la structure d'accueil (ex. : hôpital public ou privé), votre région ou encore le service où vous êtes admis. Il comprend, outre le salaire du personnel soignant, de nombreux coûts comme celui des médicaments administrés, ainsi que les frais liés à l'hébergement en lui-même (ex. : chauffage, repas).
Au final, une seule journée d’hospitalisation revient souvent à plus de 1 000 euros. Voire nettement plus dans les services de soins intensifs... Cependant, seule une "petite" fraction de ce montant est à la charge des patients !
Sauf cas particulier, la Sécurité sociale couvre uniquement les frais d'hospitalisation proprement dits. Ces derniers comprennent :
La Sécurité sociale les prend habituellement en charge à hauteur de 80 %, sur la base des tarifs conventionnés. Les 20 % restants correspondent au "ticket modérateur" : si le prix de la journée hospitalisation est de 1 000 € par exemple, il revient donc à lui seul à 200 €... Mais une exonération est possible dans certains cas : on parle alors de prise en charge à 100 %. Elle vous concerne notamment si vous êtes :
Mis à part le fameux ticket modérateur, vous devez normalement régler d'autres frais, même si vous êtes pris en charge à 100 % par l'Assurance Maladie. Ils comprennent :
Bon à savoir : l'exonération du forfait hospitalier est envisageable dans certaines situations. Par exemple, vous ne devez pas le régler si vous êtes victime d'un accident du travail, d'un acte terroriste ou encore si vous êtes hospitalisée pendant vos 4 derniers mois de grossesse.
En définitive, même avec une prise en charge à 100 % de la Sécurité sociale, le coût d'une hospitalisation peut être très élevé... Heureusement, il existe des solutions pour diminuer la facture. Avec la souscription d’une garantie hospitalisation chez Filiassur, vous bénéficiez par exemple d’indemnités en cas d’hospitalisation. Celles-ci pourront être utilisées pour payer les frais non remboursés par la Sécurité sociale ou par votre complémentaire santé.
N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.
La viande contient des graisses saturées, ce qui augmente le cholestérol et le risque de maladies cardiovasculaires. Il vaut mieux donc réduire sa consommation et miser plus sur les légumes qui apportent des protéines de qualité.
Il existe plusieurs aliments naturels, bons pour la santé et pas chers !
Les vertus du thé vert sont nombreuses.
Il réduit les effets d’une mauvaise alimentation grâce à un antioxydant puissant qui absorbe les graisses et limite la prise de poids. Il est encore plus efficace consommée dans le cadre d'un régime alimentaire sain.
Le thé vert agit également comme coupe-faim. C’est donc un moyen d'arrêter le grignotage entre les repas.
Le thé vert permet de réduire le stress mental et physique en produisant un effet relaxant, et aide aussi à renforcer l’attention.
Le thé vert aide à renforcer les défenses naturelles des patients atteints du cancer et permet même parfois de ralentir la progression de certains cancers, comme celui du sein, de la peau et de la prostate.
Grâce à ses antioxydants, le thé vert permet de ralentir le vieillissement de la peau et l'apparition des rides. Il aide aussi à garder le cœur en bonne forme, à condition de le boire nature, sans sucre ni lait.
Attention : à forte dose le thé vert peut s'avérer toxique pour le foie. Il peut aussi avoir des effets indésirables s’il est consommé en même temps que l’aspirine ou qu’un anticoagulant.
Bien manger, ce n’est donc pas si compliqué : il suffit de miser sur des aliments entiers et naturels, limiter la consommation de produits animaux et éliminer au possible les produits transformés.
Avec ces quelques petits changements, ce n’est pas seulement à son corps que l’on rend un service. C’est aussi le mental qui s’en voit bénéficié. En effet, il a été prouvé qu’une alimentation équilibrée chez des patients dépressifs a eu, au bout de 12 semaines, des résultats incroyables : amélioration de l’humeur, baisse des symptômes dépressifs et augmentation du taux de rémission.
C’est donc pour notre bien-être autant physique que mental qu’il vaut mieux miser sur des habitudes saines, et à long terme !
Sources : Le Parisien, La Dépêche, Ouest-France, Journal de Montréal
Pendant un congé parental, la mutuelle d'entreprise peut faire l'objet d'une suspension. Cela s'explique par le fait que le contrat de travail est suspendu. Or, si l'employeur a l'obligation depuis 2016 de mettre en place une complémentaire santé collective, la loi ne le contraint pas au maintien de la mutuelle pendant un congé parental.
En termes de mutuelle et de congé parental, les employeurs ont plusieurs possibilités, qui sont prévues en général dans l'acte qui met en place la complémentaire santé collective :
Pour savoir ce qui a été prévu par votre employeur, le mieux est de lui poser directement la question si vous travaillez dans une TPE (très petite entreprise) ou une PME (petite et moyenne entreprise) ; ou, si votre entreprise est plus grande, de demander l'information auprès du service des ressources humaines. L'autre solution est de consulter le contrat d'adhésion à la complémentaire santé collective. Celui-ci vous a été remis lors de la signature de l'accord avec l'organisme de complémentaire santé, ou lors de votre embauche dans l'entreprise, et la réponse doit s'y trouver.
La question de la mutuelle d'entreprise pendant le congé maternité est différente. Alors que le congé parental d'éducation est une suspension du contrat de travail qui entraîne aussi une suspension du versement du salaire, à l'inverse, un congé maternité entraîne le versement d'indemnités journalières par l'Assurance maladie et/ou le maintien du salaire par l'employeur. Dans ce cas, pendant toute la durée du congé maternité, la mutuelle d'entreprise est donc en général maintenue. La question du maintien de la complémentaire santé collective se posera donc après votre congé maternité, si vous décidez de prendre un congé parental d'éducation pour élever votre enfant.
Sachez que vous pouvez en demander un si vous avez au moins un an d'ancienneté dans l'entreprise, à la naissance ou à l'adoption d'un enfant. Le congé parental peut être à temps complet ou à temps partiel : il peut s'agir d'une réduction du temps de travail hebdomadaire. Dans un cas comme dans l'autre (réduction totale ou partielle du temps de travail), le congé parental d'éducation s'accompagne d'une réduction du salaire correspondante.
Si vous ne pouvez plus bénéficier de la mutuelle d'entreprise pendant votre congé parental, il vous reste deux solutions :
L’activité partielle ne vous mettra plus dans la précarité, grâce à l’offre Filiassur santé : vous bénéficierez d’une couverture santé pour vos enfants jusqu’à 18 ans, et jusqu'à 26 ans s'ils poursuivent leurs études.
Les mutuelles proposent généralement trois grands types de remboursement : en pourcentage de la base de remboursement de la Sécurité sociale (la « BRSS »), en pourcentage du plafond mensuel de la Sécurité sociale, ou encore sous la forme d’un forfait. On vous explique la différence entre les trois, pour bien comprendre le remboursement de votre mutuelle.
Il s’agit sans doute du type de remboursement le plus couramment rencontré dans les différents tableaux de garanties des mutuelles. S’écrivant généralement sous la forme 100 % BR, 200 % BR, etc., le remboursement complémentaire santé en pourcentage de la BR indique que la prise en charge de la mutuelle se fait sur un pourcentage s’appliquant à la base de remboursement de la Sécurité sociale. Cette base, abrégée en BR ou BRSS, correspond à un tarif conventionné défini pour chaque acte médical ou chaque médicament.
Voici comment calculer le remboursement de votre mutuelle sur la base de la Sécu :
Pour une consultation en cabinet chez le médecin généraliste en métropole, le tarif conventionné par la Sécurité sociale est de 23 €, et l’Assurance maladie en rembourse 70 % (moins une participation forfaitaire de 1 € existant notamment pour les consultations). Ensuite, c’est à votre mutuelle de prendre en charge le reste. Si elle vous indique un remboursement de 100 % BR, c’est qu’elle prendra en charge jusqu’à 100 % de la base de remboursement de la Sécurité sociale, soit jusqu’à 23 €, auquel il faut retrancher les 1 € de participation, et le montant déjà remboursé par l’Assurance maladie (23 € x 0,70 - 1 € = 15,10 €). Dans ce cas, la mutuelle rembourse donc 23 € - 1 € - 15,10 € = 6,90 €, et seul 1 € reste à votre charge.
Avoir une mutuelle proposant un remboursement à 200 % ne veut pas dire que vous allez être remboursé au-delà de ce que vous avez avancé (le remboursement ne pourra jamais excéder les frais réels engagés), mais que la prise en charge de la mutuelle ira jusqu’au double de la BR. Cela est intéressant lorsqu’il existe un gros écart entre le prix facturé pour un soin et son tarif conventionné. Par exemple, pour un médecin généraliste pratiquant le dépassement d’honoraires, une consultation en cabinet sera couverte jusqu’à 45 € (23 € x 200 % - la participation forfaitaire de 1 €).
Ce remboursement prenant pour base le plafond mensuel de la Sécurité sociale ou plafond de la Sécurité sociale (PMSS ou PSS) est notamment utilisé par les mutuelles d’entreprise obligatoires.
Ici, le plafond mensuel de la Sécurité sociale ne change pas pour chaque type de soin, mais constitue une limite de remboursement mutuelle fixée chaque année par le gouvernement (ce PMSS est de 3 428 € en 2020).
En revanche, le mode de calcul reste le même, puisque le pourcentage noté dans le tableau des garanties doit s’appliquer au PMSS en vigueur.
Les remboursements en forfait sont particulièrement utilisés pour les frais d’optique et d’orthodontie qui sont peu pris en charge par la Sécurité sociale. Le forfait indiqué représente le montant maximum qui pourra être remboursé par la mutuelle sur une période donnée (le plus souvent annuelle).
Voici un exemple de remboursement complémentaire santé en forfait : l’offre Filiassur Santé prend en charge chaque année un équipement optique (monture + 2 verres) jusqu’à 250 €, et le remboursement d’une prothèse dentaire jusqu’à 215 €. Pouvant même venir en complément de votre mutuelle, la complémentaire santé Filiassur Santé est une protection complète couvrant toute votre famille, avec la simplicité de deux niveaux de garanties au choix, et sans formalités médicales, ni d’avance de frais avec le tiers payant.
Enfin, un remboursement en frais réels veut simplement dire que le remboursement se fait à hauteur des frais que vous avez véritablement engagés pour vos soins. Dans ce cas, il n’y a pas de calcul de remboursement à faire pour la mutuelle, celle-ci vous remboursant l'intégralité de votre ticket modérateur (la part non prise en charge par la Sécurité sociale, moins votre éventuelle participation forfaitaire de 1 € selon la nature de l'acte médical) dans la limite de vos dépenses.
Vous avez besoin d'être hospitalisé ? Que ce soit en vue d'une opération ou d'un accouchement, mieux vaut vous y préparer soigneusement ! Du choix de l'établissement jusqu'aux affaires à glisser dans votre valise d'hospitalisation, découvrez l'essentiel à savoir pour que votre séjour se déroule dans les meilleures conditions possibles.
À ce stade, il s'agit surtout de vous poser les bonnes questions. Certes, la proximité de l'établissement va sans doute jouer un rôle dans votre décision, mais renseignez-vous aussi sur la qualité de l'accueil, les équipements disponibles, la réputation des praticiens, les spécialités de l'établissement... Pour obtenir ce genre d'informations, n'hésitez pas à poser directement des questions aux centres hospitaliers de votre choix, et à vous fier au bouche-à-oreille. Mais pensez aussi à consulter scopesanté.fr pour bien préparer votre hospitalisation ! Site de référence, il regroupe les données de la Haute Autorité de Santé (HAS) concernant la qualité et la sécurité des soins dans tous les hôpitaux de France.
Avant de valider votre choix, renseignez-vous sur le coût de votre hospitalisation. Et surtout sur ce qui restera à votre charge ! Gare aux dépassements d'honoraires pratiqués par certains établissements par exemple : ils ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale. Pour éviter de mauvaises surprises, adressez une demande de prise en charge à votre complémentaire santé, en joignant le devis fourni par l’hôpital, et en indiquant la date prévue pour l'acte... Au besoin, vous pouvez aussi souscrire une autre offre pour réduire votre facture ! La Garantie Hospitalisation Filiassur, par exemple, vous donne droit à des indemnités dès 48h d'hospitalisation pour régler les frais non remboursés par votre mutuelle et la Sécurité sociale.
À noter : pour certains actes (ex. : traitements d'orthopédie dento-faciale), vous devez envoyer une demande d'accord préalable à votre caisse primaire d'assurance maladie pour être bien remboursé. Rassurez-vous : le praticien remplit lui-même les parties du formulaire les plus "délicates", comme la justification de l'acte. Si l'Assurance maladie ne vous répond pas dans les 15 jours, cela équivaut à un accord de prise en charge.
La plupart des centres hospitaliers vous fourniront une liste de documents à leur fournir le jour J pour finaliser votre admission. Soit elle vous sera remise en main propre, soit vous la trouverez sur leur site internet : respectez-la soigneusement, car il peut y avoir des différences, selon les établissements et votre situation. Cela étant dit, normalement, vous devez amener au moins ces papiers pour votre hospitalisation :
Peuvent ensuite s'y ajouter différents documents selon votre situation, comme votre volet de prise en charge en accident du travail par exemple.
Remplir une valise pour l'hôpital avant une opération ou un accouchement, ce n'est pas la même chose ! En effet, les affaires à apporter dépendent beaucoup de l'acte ET de la durée de votre séjour. C'est pourquoi l'établissement vous fournira sans doute des indications pour bien remplir votre valise ou votre sac pour votre hospitalisation. Pour faciliter le changement de pansements, vous serez peut-être invité à prendre des chemises avec boutonnage sur l’avant, plutôt que des T-shirts par exemple. Fiez-vous donc toujours bien aux recommandations de l'établissement ! Mais, à titre indicatif, voici quand même une liste "type" pour remplir votre valise pour l’hôpital :
FILIASSUR : SAS au capital de 37500€ ayant son siège social 5 rue de Turbigo 75001 Paris, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro 498 850 445, société de courtage d'assurances immatriculée auprès de l'ORIAS sous le numéro n° 07 031 054 (vérifiable sur le site internet de l'ORIAS www.orias.fr), soumise à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, sis 4 place de Budapest CS 92459 75436 Paris CEDEX 09.