Pour rester en bonne santé, il est essentiel de prendre soin de son cerveau afin de ralentir son vieillissement.

Selon une étude britannique publiée dans le Molecular Magazine, l’âge du cerveau serait révélateur de notre état de santé : plus l’écart entre l’âge du cerveau et l’âge réel est élevé, plus il existerait de risques de mauvaise santé mentale et physique.

Afin de calculer celui-ci, une méthode capable d’analyser le volume de tissu cérébral via un simple IRM pourra bientôt voir le jour. Ainsi, dans le futur il sera possible de connaître l’âge de son cerveau et de changer ses habitudes si nécessaire pour éviter certaines maladies.

Mais en attendant que cette solution voie le jour, que pouvons-nous faire pour prévenir le vieillissement de notre cerveau ? Voici quelques conseils.

Il est aussi judicieux de consommer cinq fruits et légumes par jour, et d’éviter l’alcool qui à long terme et en grande quantité est néfaste pour les neurones.

Évitez de vous mettre la pression et essayez de vous détendre : le stress est producteur de corticoïdes, ce qui peut entraîner la destruction des neurones.

Sources : www.passeportsante.net,  www.e-sante.fr

De nombreuses interventions chirurgicales nécessitent une rééducation fonctionnelle. Celle-ci comprend divers soins et exercices vous aidant à récupérer vos capacités. Mais si son but est toujours de vous réinsérer le plus rapidement possible dans votre milieu familial ou professionnel, elle ne se déroule pas toujours de la même façon. En effet, elle peut s'effectuer soit en ambulatoire, soit en hospitalisation. On vous explique les différences entre les deux et comment obtenir l'accord de l'Assurance Maladie pour une rééducation en hospitalisation !

 

Rééducation fonctionnelle : ambulatoire vs hospitalisation

 

Comment obtenir l'accord de l'Assurance Maladie pour une rééducation en hospitalisation ?

De votre côté, vous n'avez pas grand-chose à faire. En effet, c'est à votre chirurgien que revient la tâche de demander une rééducation fonctionnelle en hôpital de jour ou en hospitalisation complète. Il évoque d'abord avec vous les différentes possibilités de rééducation puis, s'il l'estime nécessaire, il adresse une demande à un établissement SSR en lui fournissant toutes les informations utiles : votre dossier médical, quelle intervention vous venez de subir, les éventuelles complications dont vous souffrez, etc. Dans un second temps, l’établissement adresse une demande d'accord préalable à votre caisse d'Assurance Maladie. Enfin, cette dernière statue rapidement sur votre situation en fonction de tous les éléments récoltés : normalement, elle rend sa réponse sous 24 heures ouvrées. Il peut aussi bien s'agir d'un avis favorable à votre hospitalisation qu'un avis défavorable : dans ce dernier cas de figure, il faut envisager une rééducation fonctionnelle en ambulatoire. Parlez-en à votre chirurgien !

 

Pensez à la Garantie Hospitalisation pour être mieux remboursé lors de votre rééducation

Si l'Assurance Maladie donne son aval pour une rééducation fonctionnelle en établissement SSR, elle prendra en charge une partie des coûts, dans les mêmes conditions que pour une hospitalisation classique. Elle peut ainsi couvrir 80 % des frais d'hospitalisation (ex. : rémunération du personnel médical, traitements, utilisation de divers appareils médicaux) sur la base des tarifs conventionnés, voire 100 % de ces frais pour certaines situations particulières comme les affections de longue durée (une liste est établie par le ministère de la Santé : elle comporte des ALD telles que l’insuffisance respiratoire chronique grave, l’insuffisance cardiaque grave, les maladies coronaires, etc.). Mais il restera quand même à votre charge :

Cela peut donc vite revenir cher, surtout pour les rééducations de longue durée... C'est pourquoi nous vous conseillons de souscrire une Garantie Hospitalisation pour faire des économies : elle peut couvrir tous les frais non pris en charge par la Sécurité sociale !

 

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.

Avec environ 800 000 intérimaires recensés chaque mois par Pôle Emploi ces dernières années, le secteur de l’intérim prend une place conséquente sur le marché du travail en France. Comme les salariés traditionnels, les intérimaires bénéficient de la mutuelle obligatoire d’entreprise, mais dans des conditions quelque peu différentes.

 

Quelles sont les caractéristiques spécifiques de la mutuelle santé en intérim ?

 

Pendant tout le temps où il est en mission, l’intérimaire doit bénéficier aux yeux du Code du travail des mêmes droits que les autres salariés de l’entreprise qui l'emploie (en termes de rémunération, de restauration, etc.). En matière de complémentaire santé, la loi sur la mutuelle obligatoire en entreprise entrée en vigueur début 2016 s’applique également aux intérimaires. À une condition que nous verrons ensuite, les intérimaires peuvent eux aussi bénéficier d’une complémentaire santé financée au minimum à 50 % par leur employeur (qui est ici leur agence d’intérim).
Cette complémentaire santé en intérim doit, elle aussi, inclure un panier de soins, couvrant au minimum les mêmes garanties que la mutuelle d’entreprise obligatoire d’un salarié traditionnel. En revanche, la portabilité de la mutuelle santé intérim s’arrête à 7 mois maximum après la fin de la mission, contre 12 mois pour les salariés en CDI, et cette mutuelle intérim porte un nom spécifique (Intérimaires Santé).
Autre caractéristique spécifique à l’intérimaire, ce dernier peut bénéficier d’une aide financière venant du Fonds d’action sociale du travail temporaire (FASTT) qui peut prendre en charge jusqu’à 50 % de la cotisation restée à la charge du salarié. La mutuelle intérimaire avec FASTT vous reviendra par exemple à seulement 25 % de la cotisation globale si l’employeur se contente de payer les 50 % minimum exigés par la loi.

 

Quelles sont les conditions pour bénéficier d’une mutuelle intérimaire ?

 

L’intérimaire doit remplir une condition de temps de travail pour bénéficier automatiquement de la mutuelle santé obligatoire d’entreprise, ce qui n’est pas le cas pour les autres salariés. Il doit ainsi avoir cumulé 414 heures de travail au cours des 12 derniers mois écoulés, pour se retrouver couvert à partir du premier jour du mois suivant le franchissement de ce plafond.
Pour les intérimaires ne souhaitant pas attendre ce délai, ils peuvent faire une demande d'adhésion par anticipation, dont le coût sera alors entièrement à leur charge jusqu’à ce qu'ils aient dépassé les 414 heures de travail.
Pour les intérimaires en CDI ou en contrat de mission de plus de 3 mois, l’adhésion à la mutuelle intérimaire est en revanche automatique, et la couverture démarre dès le premier jour du contrat de travail.

 

La mutuelle intérim, obligatoire ou pas ? Existe-t-il des alternatives ?

Cette mutuelle intérim obligatoire pour l’entreprise peut être refusée par l’intérimaire (qui devra alors faire une demande de dérogation) dans deux cas principaux :

En effet, certains travailleurs habitués à avoir une activité partielle, tels que les intérimaires, préfèrent souscrire une complémentaire santé plus complète, les couvrant à chaque moment de l’année, même en cas d’inactivité prolongée. C'est ce que propose la complémentaire santé Filiassur qui vous garantit notamment un remboursement complet de vos frais d’hospitalisation et médicaux, ainsi qu’une protection optimale pour toute votre famille. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur cette assurance, vous pouvez consulter la fiche Solution Santé du spécialiste Filiassur.

 

Si on entend beaucoup parler de complémentaire santé, peu de gens sont capables d'en donner une définition précise... À quoi sert-elle exactement ? Est-elle obligatoire pour tout le monde ? Quelle différence avec la mutuelle santé ? Nous répondons à toutes vos questions sur ce dispositif !

 

Complémentaire santé : définition

Une complémentaire santé est un dispositif complétant la prise en charge de l'Assurance maladie. En fonction des circonstances, elle peut ainsi prendre tout ou partie des frais non remboursés par la Sécurité sociale, comme les dépassements d'honoraires des médecins par exemple. À noter également que, depuis l’ANI (accord national interprofessionnel) de 2016, la complémentaire santé est obligatoire pour les salariés : sauf cas particulier, ils doivent adhérer à la complémentaire de leur entreprise. En revanche, ce dispositif reste facultatif pour toutes les personnes "non salariées", comme les freelances et les commerçants par exemple.

 

Pourquoi prendre une complémentaire santé ?

Vous n'êtes pas salarié ? Si rien ne vous oblige à souscrire une complémentaire santé, cela reste tout de même vivement conseillé. En effet, le restant à votre charge peut être très lourd en fonction des soins dont vous avez besoin : les remboursements de l'Assurance maladie restent notamment faibles dans le domaine dentaire et le domaine optique... Sans parler des avantages que peut vous offrir une complémentaire santé en cas d'hospitalisation, comme la prise en charge de vos frais de confort (ex. : chambre individuelle, TV) et de vos frais de transport par exemple !

Bon à savoir également : si vous êtes salarié, rien ne vous interdit de renforcer votre couverture d'entreprise avec une offre supplémentaire. On parle alors plus précisément de "surcomplémentaire santé".

 

Quelle est la différence entre une complémentaire santé, une mutuelle et une assurance santé ?

Il n'y a pas vraiment de différence entre une mutuelle et une complémentaire santé : ces mots sont utilisés comme des synonymes dans le langage courant... Même s'il s'agit en réalité d'un léger "abus de langage". Car, au sens strict du terme, la mutuelle désigne l'organisme qui délivre la complémentaire, pas le contrat en lui-même. Quant à la différence entre complémentaire et assurance santé, elle tient seulement aux établissements qui les délivrent ! En effet, ces deux contrats ont exactement la même fonction. À savoir : couvrir au maximum les frais non pris en charge par l'Assurance maladie. Cependant :

 

Vous pouvez donc aussi bien opter pour une complémentaire qu'une assurance santé ! L'essentiel est de comparer les garanties et les tarifs avant d'arrêter votre choix. Par exemple, l'Assurance Complémentaire Santé Filiasur propose une protection optimale à toute votre famille : n'hésitez pas à demander votre devis en ligne !

 

Qu’est-ce que la complémentaire santé solidaire ?

Si vos revenus sont faibles, vous pouvez adresser une demande de complémentaire santé solidaire (CSS) à votre centre de Sécurité sociale. Lancée le 1er novembre 2019, cette aide unique nécessite très peu démarches et de justificatifs. Elle remplace ainsi avantageusement les anciennes "couverture maladie universelle complémentaire contributive" (CMU-C) et "l’aide à la complémentaire santé" (ACS), que de nombreux Français peinaient à activer.

 

En pratique, la CSS coûte de 0 à 1 euro par jour maximum. Elle vous dispense de tout "reste à charge", et vous permet aussi de ne pas avancer les frais dans de nombreuses situations (ex. : consultations, achat des médicaments en pharmacie). Pour l'obtenir, 2 grandes conditions :

 

À titre indicatif, si vous vivez seul vous pouvez prétendre à la :

 

 

*Source : gouvernement.fr, "Plafonds de ressources applicables au 1er novembre 2019 en métropole"

Plus que d'autres catégories de la population, les seniors peuvent avoir besoin de recourir à une ambulance ou un transport en VSL (véhicule sanitaire léger), pour une consultation médicale, des soins, une hospitalisation, ou pour rentrer chez eux après une intervention ou un séjour à l'hôpital. En effet, s'ils vivent seuls, loin de leurs enfants, ou si leur conjoint n'est pas en mesure de les conduire, la prise en charge en transport médical est la seule solution. Sous certaines conditions, les transports en VSL bénéficient d'un remboursement par l'assurance maladie et/ou la complémentaire santé.

 

Quelles sont les conditions pour une prise en charge en transport médical de type VSL ?

Le type de transport médical par lequel la personne âgée sera prise en charge dépend en premier lieu de son état de santé général :

 

Quelle est la prise en charge par la CPAM pour un transport en VSL ou en ambulance ?

C'est le médecin qui établit la prescription médicale de transport, en y précisant le type de transport. Cette prescription doit être rédigée avant le transport, sauf si la personne âgée est emmenée aux urgences – dans ce cas-là, la prescription est rédigée par le médecin après la prise en charge aux urgences. Pour bénéficier d'un remboursement du transport par la Sécurité sociale (en ambulance, VSL, taxi, véhicule personnel, transports en commun), il est nécessaire de remplir les conditions suivantes :

Pour demander un remboursement des frais de transport médical en VSL ou ambulance, il faut envoyer à l'Assurance maladie la prescription médicale, l'accord préalable (s'il a été nécessaire) et le justificatif des paiements effectués. L'Assurance maladie et la complémentaire santé étant en général en lien, le remboursement par votre mutuelle sera automatique.

 

Quel remboursement pour les frais d'ambulance ou de VSL par votre mutuelle ?

L'Assurance maladie rembourse les frais de transport à 65 %, sauf dans une douzaine de cas pour lesquels elle les rembourse à 100 % (affection longue durée exonérante, transport entre deux établissements, personnes titulaires d'une pension d'invalidité, etc.). Il reste donc 35 % à charge de l'assuré. Vous pouvez demander une prise en charge par votre mutuelle du prix de l'ambulance, du taxi ou du VSL, mais aussi des frais liés à l'usage de votre véhicule personnel ou du coût des transports en commun.

 

Pour renforcer la protection de votre santé, Filiassur Santé vous fera bénéficier d’une assistance, d’un soutien financier, d’une protection juridique, ainsi que de prélèvements mensuels sans frais.

 

En France, plus de 15 millions de personnes sont touchées par l’hypertension artérielle. Longtemps silencieuse, l’hypertension artérielle peut provoquer des complications : infarctus, attaques cérébrales… Le comité français de lutte contre cette affection rappelle quelques mesures à prendre.

La tension artérielle correspond à la pression du sang dans les artères. Dans l’organisme, les artères jouent le rôle de mères nourricières. Elles permettent au cœur d’approvisionner le sang vers les différents tissus de l’organisme et donnent aux cellules l’oxygène indispensable à leur survie. L’hypertension se traduit par une pression anormalement forte du sang sur la paroi des artères. En situation de stress ou durant un effort physique, il est normal que la tension soit élevée. En revanche, chez les personnes hypertendues, la tension reste élevée tout le temps, que ce soit en période de repos ou d’activité intense.

D’où la nécessité d’adopter des habitudes de vie plus saines qui viennent compléter la prise de médicaments pour faire baisser la tension artérielle.

Un maitre mot : changer ses habitudes alimentaires !

En cas d’hypertension, il est primordial de diminuer sa consommation d’alcool : pas plus de trois verres de vin par jour pour les hommes, et deux verres pour les femmes. Pour le café, ne pas boire plus de 4 tasses de café par jour.

Il faut en consommer moins de 6g par jour en cas d’hypertension. Il est alors préférable de retirer la salière de table. Il faut faire également attention à la quantité de sodium présent

dans certains plats et ingrédients : charcuterie, plats préparés, certaines conserves et fromages (roquefort, feta, ou bleu d’auvergne).

Il est indispensable d’éviter les graisses saturées autant que possible quand on a de la tension. Cette absence peut être comblée par la consommation de graisses végétales.

Il faut choisir les viandes maigres et éviter le bœuf, le porc et le mouton, préférez le poisson et la volaille (sans la peau).

L’activité physique est essentielle, même modérée. Une demi-heure de marche par jour, le vélo, la natation sont de bons moyens pour bouger sans trop forcer.

Les fruits et légumes sont notre allié santé : en consommer tous les jours est fortement conseillé en ciblant ceux apportant du potassium, l’ami de votre tension. Les fruits champions de la minceur sont également à privilégier : le kiwi pour sa vitamine C, le pamplemousse pour son apport calorique faible et une teneur en glucides modérée, le melon pauvre en glucides, la pomme pour son effet coupe-faim dû à ses fibres.

Pour bénéficier de conseils et suivre un programme pour son traitement, vous pouvez vous rendre ici : http://www.comitehta.org/

Le Comité français de lutte contre l´hypertension artérielle
CFLHTA
50, rue du Rocher
75008 Paris

FILIASSUR : SAS au capital de 37500€ ayant son siège social 5 rue de Turbigo 75001 Paris, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro 498 850 445, société de courtage d'assurances immatriculée auprès de l'ORIAS sous le numéro n° 07 031 054 (vérifiable sur le site internet de l'ORIAS www.orias.fr), soumise à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, sis 4 place de Budapest CS 92459 75436 Paris CEDEX 09.

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