Le saviez-vous ? Selon les chiffres du gouvernement, les accidents de la vie courante (Ac-VC) (dits aussi "accidents de la vie privée") entraînent près de 5 millions de recours aux urgences chaque année, et plusieurs centaines de milliers d’hospitalisations ! Mais quels sont les accidents de la vie courante exactement ? Et quelles mesures pouvez-vous prendre pour les prévenir ?
Par définition, les accidents de la vie courante recouvrent tous les accidents SAUF ceux se déroulant sur la route (accidents de la circulation) et dans le cadre du travail (accidents du travail). Il s'agit donc d'une notion extrêmement large, regroupant entre autres les :
Pour vous aider à mieux cerner le concept d'Ac-VC, voici des exemples précis d'accidents de la vie. Parmi les situations les plus courantes, on retrouve les :
Autre accident de la vie courante encore trop fréquent, surtout chez les plus jeunes : la noyade en piscine ou à la mer... Cela étant dit, il existe encore de très nombreux Ac-VC possibles, comme les empoisonnements au restaurant par exemple, les blessures sportives, ou encore les séquelles liées à une erreur médicale.
Force est de reconnaître qu'il est impossible de prévenir tous les Ac-VC à 100 %. Cependant, vous pouvez déjà fortement réduire les risques en sécurisant votre habitation. Rampe d'escalier solide, tapis antidérapant pour la douche, barrière de sécurité pour la piscine, barres d'appui près des toilettes et de la baignoire si l'un de vos proches (ou vous-même) avez du mal à vous relever : les possibilités sont nombreuses !
Au-delà de l'équipement, il existe aussi beaucoup d'astuces et de bons gestes à connaître. Pensez à bien tourner les poignées de vos casseroles vers l'intérieur pour éviter de vous ébouillanter, par exemple. Ou encore à vous échauffer soigneusement avec chaque séance de sport : c'est indispensable pour limiter le risque de blessure !
Autre piste intéressante : vous former aux premiers secours avec la Croix-Rouge ou une autre association agréée comme le CFS (Centre français de secourisme). Certes, ces formations n'empêchent pas les accidents de se produire, mais elles peuvent limiter les dégâts occasionnés ! Voire sauver des vies dans bien des cas...
Même en prenant toutes les précautions possibles, un Ac-VC est vite arrivé. C'est pourquoi il est souvent judicieux de souscrire une assurance accident de la vie pour couvrir les différents frais occasionnés. Avec l’assurance Accident de la Vie Filiassur par exemple, les indemnités reversées peuvent atteindre jusqu'à 1 million d'euros. Non imposables, vous pouvez les utiliser comme vous le souhaitez : elles peuvent, par exemple, servir à régler les frais médicaux restant à votre charge après le remboursement de l'Assurance maladie et de votre mutuelle.
En souscrivant cette assurance, vous bénéficiez aussi d'un service d'assistance. Garde d'enfant, aide ménagère, accompagnement pour aménager votre véhicule en cas de handicap : tout est mis en place pour vous faciliter la vie après votre accident. Intéressé ? Vous en apprendrez plus sur la fiche Assurance Accident de la Vie Filiassur !
Il est par définition impossible de prévoir un accident ou une maladie amenant à une hospitalisation dans un établissement de santé. La souscription d’une assurance hospitalisation peut en revanche vous aider à anticiper les imprévus financiers qui y sont liés.
Qu’est-ce qu’une assurance hospitalisation ?
L’assurance hospitalisation définit un type d’assurance destiné à prendre en charge une partie de vos dépenses de santé (et de confort) en cas d’hospitalisation. Lorsque vous êtes hospitalisé(e) pour maladie, blessure ou pour quelconque autre raison, de nombreuses dépenses sont engagées (dépassements d’honoraires des praticiens spécialisés, frais divers et variés comme la télévision ou le téléphone en chambre particulière, etc.). En France, la Sécurité sociale assume, sauf cas particuliers, 80 % de vos frais d’hospitalisation. Elle laisse à votre charge ou à celle de votre complémentaire santé une autre partie (les 20 % restants et d’autres dépenses comme le forfait journalier ou les prestations de confort). Sans assurance hospitalisation, la facture de votre hospitalisation faite des dépenses non prises en charge par l’Assurance Maladie peut donc se révéler particulièrement élevée.
Pourquoi souscrire une assurance hospitalisation ?
La souscription d’une assurance hospitalisation vous permet de faire face plus sereinement à une hospitalisation du point de vue financier. Sous réserve de souscrire le bon contrat, vous profitez avec votre assurance hospitalisation d’une meilleure prise en charge de vos dépenses. Le reste à charge (ce qu’il vous reste à payer après les remboursements de l’Assurance Maladie) sera donc moins important avec une assurance hospitalisation que si vous vous présentez à l’hôpital ou en clinique sans contrat d’assurance hospitalisation. En fonction du type d’intervention et/ou de la raison de votre hospitalisation, ce reste à charge avant remboursement de l’assurance hospitalisation peut aisément dépasser plusieurs centaines voire milliers d’euros. La souscription d’une assurance hospitalisation vous protège donc d’un éventuel grand déséquilibre de votre budget en cas d’accident ou de maladie nécessitant une hospitalisation.
Quelles sont les garanties proposées ?
Aujourd’hui, la plupart des assurances hospitalisation proposent un bouquet de garanties classiques comprenant :
Quelle assurance hospitalisation choisir ?
Pour bien choisir une assurance hospitalisation, il est souvent recommandé de prendre en compte deux critères :
Chez Filiassur, nos contrats d’assurance hospitalisation se veulent à la fois accessibles financièrement (cotisation à partir de 4,60 € par mois) et riches en garanties. En souscrivant une assurance hospitalisation chez Filiassur, vous profitez par exemple d’indemnités journalières (jusqu’à 200 €* par jour) que vous pouvez utiliser selon vos besoins. Les jeunes parents hospitalisés ont ainsi la possibilité d’utiliser ces indemnités pour financer une solution de garde de leurs enfants. L’assurance hospitalisation Filiassur se distingue également par une indemnisation pouvant aller jusqu’à 1 an pour maladie, et jusqu’à 3 ans pour accident. L’adhésion se déroule enfin sans questionnaire médical.
* Indemnités journalières en cas d’hospitalisation consécutive à un accident.
N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.
La disparition d’un être cher est toujours une épreuve difficile à surmonter pour les membres de la famille. Préparer votre décès en amont peut toutefois permettre de soulager vos proches de démarches administratives chronophages, et les protéger des conséquences financières de votre disparition.
Organiser les obsèques
À défaut d’une organisation des obsèques déjà bien ficelée, de nombreuses familles se retrouvent souvent démunies, lors de la disparition d’un proche, face aux formalités administratives à accomplir. Toutes ont pourtant des décisions à prendre et des frais à engager. Pour soulager vos proches du côté administratif de votre décès, il est vivement recommandé de préparer vos obsèques de votre vivant (sans que cela ne vous porte malheur, rassurez-vous). Pour simplifier vos obsèques, pensez notamment à communiquer, par écrit :
Pour faciliter les démarches administratives des proches, mieux vaut également penser à faire le tri dans les documents, en particulier pour tout ce qui a trait aux informations bancaires (nombre de livrets d’épargne détenus avec leurs coordonnées, etc.). Pour bien préparer son décès, il est par ailleurs conseillé de prendre le temps de classifier ses différents contrats (abonnement internet, assurances, etc.). Le regroupement des informations personnelles utiles aux organismes officiels (administration fiscale, sécurité sociale, etc.) au même endroit est enfin une dernière astuce à retenir pour bien préparer son décès.
Prévoir la succession
Avec les obsèques, la succession constitue l’autre grande étape qui attend vos proches à la suite de votre décès. Là encore, anticiper les démarches liées à votre décès de votre vivant est un bon moyen de soulager les membres de votre famille le moment venu. Pour bien préparer votre décès, il est vivement recommandé de rédiger un testament, et de le faire valider par un notaire pour un gage d’authenticité. À noter que la loi autorise la rédaction d’un testament sans notaire, sous réserve de respecter quelques conditions (mention de la date précise, testament manuscrit, signature du testateur). Dans ce domaine, vous pourrez être amené(e) à vouloir protéger votre conjoint, ou à choisir d’autres options pour favoriser une succession égalitaire entre conjoint et enfants. À défaut de testament, ce sont les règles en vigueur qui s’appliquent pour votre succession, avec le risque, notamment pour les couples non mariés, d’engendrer des situations délicates et/ou conflictuelles notamment pour les familles recomposées.
Anticiper les besoins financiers de la famille
Les obsèques représentent un coût important à assumer pour les survivants (4 500 € en moyenne en France pour une inhumation, 3 500 € en moyenne pour une crémation). Anticiper ces dépenses (auxquelles il faut ajouter les frais de notaire pour la gestion de la succession) permet d’éviter à vos proches de se retrouver dans une situation financière délicate. De la même manière, votre décès impacte directement le niveau de revenus de votre famille. Heureusement, il existe aujourd’hui des solutions pour protéger vos proches (conjoint et enfants) sur le plan financier au moment de votre disparition. C’est le cas notamment de l’assurance prévoyance décès. Chez Filiassur, l’assurance prévoyance décès prévoit par exemple le versement d’un capital à votre conjoint, ou au bénéficiaire de votre choix, au moment de votre décès, pour les aider à affronter l’avenir plus sereinement.
N’hésitez pas à consulter la fiche solution Prévoyance décès pour plus d’informations sur notre offre.
Parce que les vacances sont souvent synonymes de plaisirs et de découvertes, vous vous refusez sans doute à anticiper une éventuelle hospitalisation à l’étranger. Savoir qui paye quoi lors d’une hospitalisation hors de l’Hexagone peut pourtant vous être utile pour ne pas totalement gâcher votre voyage.
Hospitalisation à l’étranger : le rôle de l’Assurance Maladie
La prise en charge par l’Assurance Maladie des frais de santé lors d’une hospitalisation à l’étranger diffère en fonction de votre lieu de séjour. Pour des vacances en Europe, votre carte européenne d’assurance maladie (CEAM - à vous procurer avant votre départ) vous permet de bénéficier d’une prise en charge sur place des soins médicaux liés à votre hospitalisation. Selon la législation en vigueur dans le pays, deux cas de figure peuvent alors se présenter :
En cas d’hospitalisation dans un pays européen sans CEAM et/ou en cas d’avance des frais médicaux sans demande de remboursement sur place, il est possible d’obtenir un remboursement de vos dépenses de santé à votre retour en France. Il vous faudra pour cela fournir l’ensemble des factures et justificatifs de paiement accompagnés du formulaire S3125.
En cas d’hospitalisation dans un pays non européen, seuls les soins médicaux considérés comme urgents et imprévus ouvrent droit à une potentielle prise en charge financière.
Hospitalisation à l’étranger : le rôle de votre mutuelle
Le remboursement des frais d’hospitalisation à l’étranger fait partie des garanties proposées par les mutuelles. Dans ce domaine, aucune règle stricte n’est définie. Chaque mutuelle est en effet libre de proposer ou non cette option. De la même manière, le type de dépenses couvertes et le montant des remboursements sont susceptibles de varier d’une mutuelle à une autre. Avant votre départ à l’étranger, pensez donc à vérifier l’existence d’une telle garantie dans votre contrat de mutuelle et les modalités de son application (pays concernés, types de soins médicaux couverts, etc.). Pour celles et ceux d’entre vous qui ont l’habitude de voyager, la garantie de remboursement des frais d’hospitalisation à l’étranger peut être un critère important à prendre en compte au moment de choisir votre mutuelle.
Souscrire une assurance supplémentaire : le bon réflexe pour votre séjour à l’étranger
En cas d’hospitalisation à l’étranger, vous risquez fort d’avoir à payer une facture, plus ou moins salée selon les pays. Hors d’Europe, le remboursement des frais d’hospitalisation par l’Assurance Maladie et par votre mutuelle est souvent dérisoire, et non garanti (il peut être soumis à l’appréciation d’un médecin sur la justification ou non de votre hospitalisation). Pour éviter de transformer votre séjour à l’étranger en gouffre financier, mieux vaut donc anticiper une éventuelle hospitalisation. Il existe aujourd’hui des assurances supplémentaires spécialement conçues pour couvrir vos dépenses de santé à l’étranger. Porteur de la garantie hospitalisation en France, Filiassur vous accompagne dans votre quête de sérénité pour vos vacances à l’étranger. Avec la Garantie Hospitalisation Filiassur, vous bénéficiez par exemple d’indemnités journalières en cas d’hospitalisation à l’étranger (pour les séjours de moins de 3 mois).
N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie Hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.
L’assurance multirisque habitation est une offre d’assurance optimale, intéressante en ce qu’elle protège votre logement contre un bon nombre de risques.
En effet, elle apporte un maximum de garanties, dont par exemple :
En cas de vol, la MRH peut protéger, selon les options souscrites, les biens qui se trouvent dans le logement assuré : électroménager, meubles, objets de valeur, œuvres d’art… Rien n’est laissé à l’écart.
Autre avantage inclus : la garantie responsabilité civile. Celle-ci protège l’assuré des dommages qu’il pourrait causer à un tiers et qui résulteraient de sa responsabilité.
Ainsi, l’assurance MRH est indispensable pour bien protéger votre logement et pouvoir partir en vacances l’esprit tranquille !
La réforme de l'assurance-emprunteur, qui permet au contractant de changer d'assureur jusqu'à un an après la signature du prêt et de résilier plus facilement ses contrats d'assurance, est entrée en vigueur samedi 26 juillet 2014.
Prévues dans la loi Consommation promulguée en mars, "ces dispositions favorisent la liberté de choix des consommateurs : elles leur permettront d'accéder à une assurance emprunteur au meilleur prix, en faisant jouer la concurrence entre les différents contrats d'assurance proposés par le marché", a salué dans un communiqué le ministre des Finances, Michel Sapin.
"Ainsi, pour les offres de prêts immobiliers émises à partir du 26 juillet, l'emprunteur dispose désormais d'un délai de 12 mois pour résilier l'assurance proposée par l'établissement de crédit et lui substituer un nouveau contrat qui présente un niveau de garanties équivalent. En cas de substitution d'assurance, aucun frais ne pourra être facturé par l'établissement prêteur", a précisé le ministère.
L'assurance-emprunteur est contractée en même temps que la souscription d'un prêt immobilier ou d'un crédit à la consommation. Elle couvre le non remboursement du prêt en cas de décès, d'invalidité ou d'incapacité.
Cette assurance n'est pas obligatoire légalement, à la différence de l'assurance automobile par exemple, mais les banques en font un préalable nécessaire à la validation d'un prêt.
"L'emprunteur pouvait auparavant seulement substituer son assurance avant la signature de l'offre de prêt, ce qui limitait considérablement la possibilité de substitution. Le législateur a ainsi voulu donner par cette mesure le temps aux emprunteurs de faire jouer la concurrence entre les différentes offres d'assurance", a expliqué la secrétaire d'Etat chargée de la Consommation, Carole Delga.
"L'assurance-emprunteur peut représenter jusqu'à un tiers du coût du crédit", a-t-elle ajouté dans un autre communiqué. "L'économie que pourront réaliser les emprunteurs grâce à cette mesure pourra donc être conséquente: on estime ainsi que cette économie pourrait atteindre jusqu'à 9 000 euros pour un prêt de 300 000 euros sur 20 ans".
Mme Delga a indiqué qu'elle serait "vigilante" quant au respect de ces dispositions par les établissements de crédit.
Source : figaro.fr publié le 26/7/2014
FILIASSUR : SAS au capital de 37500€ ayant son siège social 5 rue de Turbigo 75001 Paris, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro 498 850 445, société de courtage d'assurances immatriculée auprès de l'ORIAS sous le numéro n° 07 031 054 (vérifiable sur le site internet de l'ORIAS www.orias.fr), soumise à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, sis 4 place de Budapest CS 92459 75436 Paris CEDEX 09.