Les chiens sont nos amis les plus fidèles et les plus loyaux. Quoi donc de plus normal que de les soigner lorsque la maladie, une blessure ou la vieillesse les handicape ou les fait souffrir ? Cependant, la note d'honoraires du vétérinaire peut vite grimper, surtout si vous n'avez pas pris d'assurance pour couvrir les frais vétérinaires de votre chien.
Le prix moyen d'une visite est autour de 40 euros. Toutefois, ce coût ne prend en compte que la consultation proprement dite. Il faut compter environ 60 euros de plus pour faire insérer une puce électronique dans l'oreille de votre chien, qui permettra de l'identifier immédiatement, et de vous contacter si votre animal s'est perdu ou enfui. En cas de radiologie pour établir un diagnostic, il faut ajouter autour de 40 euros par cliché pour une radiographie 1er cliché, et autant pour l'échographie pour un seul organe. Pour une radiographie sous anesthésie générale afin de dépister une dysplasie (anomalie au niveau des tissus), comptez 90 euros, et 75 euros pour une échographie complète. Si l'état de santé de votre chien le nécessite, un scanner vous coûtera entre 350 et 750 euros. Un simple détartrage coûte environ 80 euros. Si votre chien souffre d'un cancer, les séances de radiothérapie dépassent 1 000 euros. Une arthroscopie pour faire un bilan des articulations de votre chien coûte de 500 à 600 euros selon le vétérinaire.
Des analyses biochimiques peuvent être nécessaires pour vous assurer de la bonne santé de votre chien, ou dépister une pathologie. Si une analyse d'urine ne coûte "que" 20 euros, des analyses de sang peuvent s'élever à plus de 100 euros, selon les investigations effectuées. Une numération de la formulation sanguine coûte environ 100 euros.
De nombreux propriétaires sont quelque peu inquiets lorsqu'ils posent la question "combien coûte-t-il de faire opérer mon chien ?" Et pour cause : le prix des opérations pour les chiens peut vite atteindre des sommets. Voici un échantillon non exhaustif des prix pratiqués pour les interventions chirurgicales sur les chiens :
Nos animaux font partie de nos vies, alors, ne les négligeons pas, et adoptons une assurance pour eux. L’assurance Animaux Filiassur offre une couverture santé complète en cas d’accident, maladie et chirurgie de l’animal.
Selon une étude britannique publiée dans le Molecular Magazine, l’âge du cerveau serait révélateur de notre état de santé : plus l’écart entre l’âge du cerveau et l’âge réel est élevé, plus il existerait de risques de mauvaise santé mentale et physique.
Afin de calculer celui-ci, une méthode capable d’analyser le volume de tissu cérébral via un simple IRM pourra bientôt voir le jour. Ainsi, dans le futur il sera possible de connaître l’âge de son cerveau et de changer ses habitudes si nécessaire pour éviter certaines maladies.
Mais en attendant que cette solution voie le jour, que pouvons-nous faire pour prévenir le vieillissement de notre cerveau ? Voici quelques conseils.
Afin de combler les besoins nutritifs de votre cerveau n’oubliez pas de consommer les nutriments suivants :
- des oméga-3 deux fois par semaine, présents dans le poisson et l’huile de colza
- du glucose, présent dans le pain et les pâtes
- du fer, se trouvant principalement dans le boudin noir mais aussi dans les viandes et poissons
Il est aussi judicieux de consommer cinq fruits et légumes par jour, et d’éviter l’alcool qui à long terme et en grande quantité est néfaste pour les neurones.
Il ne s’agit pas de quantité mais de régularité ! 30 minutes de marche par jour suffisent à produire une activité musculaire et une circulation sanguine bénéfiques qui vont faciliter l’irrigation du cerveau et la nutrition des neurones.
Occupez votre esprit de manière variée et régulière : activités manuelles, intellectuelles ou sociales, tout est bon pour le cerveau. Il est également toujours positif d’entreprendre une nouvelle activité, quel que soit votre âge !
Faites des visites de routine pour garder un œil sur votre tension, bilan sanguin et hygiène de vie. Cela permettra à votre médecin de dépister d’éventuelles maladies à temps et de les traiter avant qu’elles n’aient des conséquences nocives.
Évitez de vous mettre la pression et essayez de vous détendre : le stress est producteur de corticoïdes, ce qui peut entraîner la destruction des neurones.
Sources : www.passeportsante.net, www.e-sante.fr
Selon votre temps de séjour votre logement peut être assuré ou non : c'est le cas en dessous de 90 jours, mais il reste tout de même prudent de prendre des précautions selon votre assureur (qui vous demandera par exemple de fermer les volets). Pensez aussi à voir si votre assurance comprend une garantie d’assistance, utile en cas de rapatriement.
Souscrivez à une garantie villégiature si vous occupez une location saisonnière : celle-ci sera autant assurée que votre résidence principale.
Attention à l’assurance voyage qui est obligatoire dans certains pays, tels que l’Algérie, la Russie, le Cuba ou encore la Chine. Pensez donc à vous renseigner auprès de l’ambassade du pays de séjour ou auprès d’une agence de voyages pour savoir si vous devez y souscrire.
Si vous comptez vous déplacer en voiture, pensez bien à :
- vérifier les garanties du contrat d’assurance du véhicule ainsi que ses limitations
- ajouter un deuxième conducteur au contrat ou adhérer à une assurance « prêt de volant » si vous souhaitez faire de la conduite alternée
- vérifier que votre contrat couvre bien les destinations de votre parcours (la carte verte liste les pays couverts, un pays rayé signifie la nécessité d’une assurance locale spécifique)
Prenez le temps de lire l’assurance annulation du transport que vous allez emprunter et comparez avec celle de votre carte bancaire. En effet, certaines cartes haut de gamme incluent déjà des assurances annulation.
Pensez à vous assurer contre la perte, le vol ou l’endommagement des vos effets personnels.
Selon le type de carte que vous possédez, vous êtes éventuellement couverts par une garantie d’assurance et/ou d’assistance selon votre contrat bancaire. Il faut donc vérifier celui-ci avant de partir et payer les frais du voyage avec la carte en question pour pouvoir être couvert.
Pensez toujours à prendre votre carte vitale avec vous durant un séjour en France. Si une consultation devient nécessaire, veillez à cocher sur la feuille de soins la case « hors résidence » afin d’être remboursé par l’Assurance Maladie.
Avant un départ dans l’UE, pensez à solliciter la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) à votre Caisse d’Assurance Maladie au minimum 15 jours avant votre départ. Etant nominative, chaque personne doit en posséder une afin de pouvoir faciliter les éventuelles démarches médicales et hospitalières à l’étranger.
En cas de problème ce sera à vous d’avancer les frais médicaux. Il faudra donc veiller à garder tous les justificatifs de paiement pour pouvoir être remboursé une fois de retour en France.
Cela dit, dans certains pays les frais hospitaliers sont extrêmement élevés (un simple passage aux urgences de Miami coûte jusqu’à 53 000 euros …), le meilleur reste donc de souscrire à une assurance santé qui pourra prendre en charge les frais et même le rapatriement en cas de besoin, en plus d’une garantie d’assurance médicale.
Vérifiez si votre mutuelle prend en charge les soins à l’étranger et dans quels pays d’Europe. Si elle couvre des pays de l’UE, le remboursement se fait généralement en fonction de la part de prise en charge de l’Assurance Maladie.
Votre mutuelle comprend peut-être la garantie court séjour qui couvre les dépenses à l’intérieur et à l’extérieur de l’UE. Cette garantie se trouve aussi parfois dans les contrats automobile ou multirisque habitation.
En cas d’accident, la garantie des accidents de la vie (GAV) peut vous couvrir également.
Sources : Mondial Assistance, www.lelynx.fr, www.easyvoyage.com, www.linternaute.com, www.lesfurets.com, www.argusdelassurance.com
Les chats nous prodiguent des câlins, des moments de bonheur et une compagnie. Impossible donc de les laisser souffrir quand ils sont touchés par la maladie, une blessure ou la vieillesse. Toutefois, le prix chez le vétérinaire pour votre chat peut vite atteindre des sommets, notamment si votre animal n'est pas couvert par une assurance qui prend en charge ses frais de santé.
Le prix moyen d'une visite chez le vétérinaire pour un chat oscille entre 30 et 40 euros. Néanmoins, ce prix ne concerne que la consultation vétérinaire pour votre chat, pas les examens ou injections de vaccins effectués ce jour-là. Voici un panel non exhaustif des tarifs pratiqués pour des examens et interventions courantes :
Les analyses biochimiques sont parfois indispensables pour permettre de diagnostiquer la pathologie dont souffre votre chat. Voici quelques exemples de tarifs pratiqués :
Si la question "combien coûte une visite chez le vétérinaire pour un chat ?" est importante, celle du coût des opérations sur un chat l'est encore davantage, car les prix peuvent vite exploser le budget annuel que vous aviez prévu pour l'entretien de votre animal. Sans tendre à l'exhaustivité, voici les tarifs pratiqués pour quelques opérations relativement fréquentes chez nos félins :
Pourquoi payer aussi cher lorsque son animal est malade ? L’assurance Animaux Filiassur prévoit un contrat valable pour les propriétaires d’un chien, chat, lapin ou furet qui garantit une couverture santé complète en cas d’accident, maladie et chirurgie de l’animal.
De nombreuses interventions chirurgicales nécessitent une rééducation fonctionnelle. Celle-ci comprend divers soins et exercices vous aidant à récupérer vos capacités. Mais si son but est toujours de vous réinsérer le plus rapidement possible dans votre milieu familial ou professionnel, elle ne se déroule pas toujours de la même façon. En effet, elle peut s'effectuer soit en ambulatoire, soit en hospitalisation. On vous explique les différences entre les deux et comment obtenir l'accord de l'Assurance Maladie pour une rééducation en hospitalisation !
De votre côté, vous n'avez pas grand-chose à faire. En effet, c'est à votre chirurgien que revient la tâche de demander une rééducation fonctionnelle en hôpital de jour ou en hospitalisation complète. Il évoque d'abord avec vous les différentes possibilités de rééducation puis, s'il l'estime nécessaire, il adresse une demande à un établissement SSR en lui fournissant toutes les informations utiles : votre dossier médical, quelle intervention vous venez de subir, les éventuelles complications dont vous souffrez, etc. Dans un second temps, l’établissement adresse une demande d'accord préalable à votre caisse d'Assurance Maladie. Enfin, cette dernière statue rapidement sur votre situation en fonction de tous les éléments récoltés : normalement, elle rend sa réponse sous 24 heures ouvrées. Il peut aussi bien s'agir d'un avis favorable à votre hospitalisation qu'un avis défavorable : dans ce dernier cas de figure, il faut envisager une rééducation fonctionnelle en ambulatoire. Parlez-en à votre chirurgien !
Si l'Assurance Maladie donne son aval pour une rééducation fonctionnelle en établissement SSR, elle prendra en charge une partie des coûts, dans les mêmes conditions que pour une hospitalisation classique. Elle peut ainsi couvrir 80 % des frais d'hospitalisation (ex. : rémunération du personnel médical, traitements, utilisation de divers appareils médicaux) sur la base des tarifs conventionnés, voire 100 % de ces frais pour certaines situations particulières comme les affections de longue durée (une liste est établie par le ministère de la Santé : elle comporte des ALD telles que l’insuffisance respiratoire chronique grave, l’insuffisance cardiaque grave, les maladies coronaires, etc.). Mais il restera quand même à votre charge :
Cela peut donc vite revenir cher, surtout pour les rééducations de longue durée... C'est pourquoi nous vous conseillons de souscrire une Garantie Hospitalisation pour faire des économies : elle peut couvrir tous les frais non pris en charge par la Sécurité sociale !
N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.
Les personnes âgées, qui représentent aujourd’hui 21% de la population française vont augmenter en même temps que l’espérance de vie. Ainsi, ils passeront de 6 à 8,4 millions en France. C’est dans un contexte de crise que de plus en plus de personnes devront faire face à une situation de dépendance. Comment s’y préparer correctement ?
Il est possible pour toute personne de désigner un ou plusieurs mandataires pour la gestion de ses biens en cas de perte d’autonomie : c’est ce que l’on appelle le mandat de protection future. Ce mandat peut contrer les inconvénients de la tutelle et de la curatelle, qui eux laissent le patrimoine de la personne sans contrôle jusqu’à leur proclamation.
De plus, il entre en vigueur dès que le mandant est qualifié comme inapte par le corps médical. Il peut être établi par accord entre les deux parties ou par un notaire.
Outre les auxiliaires de vie et la maison de retraite, il existe un autre moyen moins coûteux pour loger une personne dépendante : les EHPAD. Les EHPAD, Etablissements d’Hébergement pour Personnes âgées, sont des structures spécialisées dans l’accompagnement aux personnes en perte partielle voire totale d’autonomie.
Les résidents ont ainsi une aide spécifique quotidienne délivrée par des professionnels. Les EHPAD sont ouverts aux personnes ayant 60 ans et plus, et proposent un hébergement temporaire ou permanent. Ces maison de retraite spécialisées représentent plus de 70% des établissements dédiés au logement des personnes âgées.
Autre avantage : environ 74% personnes résidant en EHPAD bénéficient de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). Ces centres accueillent les personnes en fin de vie, avec une moyenne d’âge d’entrée de 84 ans.
L’assurance obsèques a pour but d’éviter à la famille de dépenser en frais funéraires. L’avantage de ce contrat est que l’on peut choisir le montant de sa cotisation, en fonction de son budget et de ses besoins. En choisissant le montant adéquat et en nommant les bénéficiaires, la famille du souscripteur reçoit un capital qui l’aidera à gérer plus facilement la situation.
Sources : www.servicevie.com , www.leparisien.fr, www.agoravox.fr
FILIASSUR : SAS au capital de 37500€ ayant son siège social 5 rue de Turbigo 75001 Paris, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro 498 850 445, société de courtage d'assurances immatriculée auprès de l'ORIAS sous le numéro n° 07 031 054 (vérifiable sur le site internet de l'ORIAS www.orias.fr), soumise à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, sis 4 place de Budapest CS 92459 75436 Paris CEDEX 09.