"Agir pour les aidants" : tel est le nom de la stratégie déployée sur plusieurs années par le gouvernement pour soutenir les proches aidants, dont plus de la moitié n'ont pas conscience de leur rôle réel, et par conséquent de leur importance. Certaines mesures sont mises en place dès 2020. Tour d'horizon de ce qui change pour les proches aidants à partir de janvier 2020.

 

La rémunération du congé proche aidant

À partir de 2020, la rémunération du congé du proche aidant est effective. Jusqu'alors, la rémunération des proches aidants n'était possible que si la personne en situation de handicap ou de dépendance touchait l'APA (allocation personnalisée d'autonomie), et salariait le proche aidant qui s'occupait d'elle au quotidien, dans le cadre du plan d'aides de l'APA. Toutefois, cette embauche n'était possible que pour les proches aidants qui n'étaient pas le conjoint, le concubin, l'époux ou le partenaire de PACS de la personne en perte d'autonomie. S'occuper d'une personne de son entourage en perte d'autonomie avait donc un coût élevé, à moins qu'elle n'ait souscrit un contrat lui permettant de toucher un capital autonomie pour faire face aux dépenses. Par ailleurs, jusqu'à 2019, les aidants familiaux ne percevaient aucune rémunération pour le congé de proche aidant : ils pouvaient bénéficier de ce congé exceptionnel, mais perdaient leur salaire le temps de leur absence.

Ce qui change :

 

Les solutions pour le droit au répit du proche aidant

Au-delà de la rémunération du congé du proche aidant – pour éviter que le proche aidant ne subisse une perte de ressources trop importante –, des mesures sont aussi prévues pour améliorer les solutions de répit pour les proches aidants. Cela passe par le doublement des capacités d’accueil des plateformes de répit pour les proches aidants, d'ici à 2022, en diversifiant l'offre de répit, notamment grâce à :

 

Un numéro de téléphone national de soutien au proche aidant

Les proches aidants se sentent souvent isolés, seuls et livrés à eux-mêmes. Pour les soutenir au quotidien, un numéro téléphonique national est mis en place dès 2020, pour assister les proches aidants, les aider à se reconnaître comme tels, leur garantir un lieu d'écoute et d’information, et les orienter vers des interlocuteurs proches de chez eux. En parallèle et en complément de ce numéro de téléphone dédié aux proches aidants, un réseau de lieux d’accueil labellisés « Je réponds aux aidants » est créé, pour recevoir les proches aidants et leur permettre de décrypter les différentes aides et l’accompagnement existant, en fonction de leurs besoins spécifiques. Sur le plan financier, il est peut enfin être utile de souscrire en amont un contrat d’assurance & prévoyance santé. Avec les contrats Filiassur comme le contrat Capital Autonomie, vous disposez par exemple d’un capital pouvant servir à rémunérer un aidant en cas de perte d’autonomie.

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Capital autonomie pour plus d’informations sur notre offre.

L’hôpital public et l’hôpital privé constituent, en France, les deux principales catégories d’établissements de soins. Fonctionnement, remboursement des soins,… découvrez ce qui les différencie.

 

Qu’est-ce qu’un hôpital public ?

L’hôpital public désigne un établissement de santé géré par l’État français. En tant que tel, l’hôpital public est rattaché à une mission de service public dans le domaine de l’accès aux soins. Les personnes employées au sein d’un hôpital public (secrétaires médicales, infirmières, etc.) sont des fonctionnaires rémunérés par l’État pour leur travail. À noter qu’en France, l’hôpital public est le seul établissement de santé autorisé à réaliser des interventions précises comme les greffes. On retrouve également dans les prérogatives de l’hôpital public la possibilité de se présenter comme un établissement de recherche et de mener des actions de formation et de prévention.

 

Qu’est-ce qu’un hôpital privé ?

Souvent appelé « clinique » dans le langage courant, l’hôpital privé est un établissement de soins géré par une entreprise privée (ou une association). Dans ce domaine, il est fréquent de distinguer l’hôpital privé à but lucratif (une entreprise investit dans le domaine de la santé avec comme objectif de réaliser un chiffre d’affaires annuel) et l’hôpital privé à but non lucratif (qui participe alors aux missions de la fonction publique). À noter qu’il existe également des hôpitaux privés non conventionnés avec l’Assurance Maladie. Dans ce cas, les actes pratiqués sont souvent onéreux et leur remboursement (voir plus bas) très peu pris en charge par la Sécurité sociale.

 

Hôpital public VS hôpital privé

Le mode de financement des établissements de soins constitue la principale différence entre l’hôpital public et l’hôpital privé. En France, les hôpitaux publics perçoivent une dotation globale annuelle accordée par l’État pour exercer leurs missions. À l’inverse, la rémunération des hôpitaux privés dépend avant tout de l’activité de chaque établissement (un hôpital privé qui n’accueille pas de patient est ainsi condamné à la fermeture). En revanche, il n’existe pas en théorie de différence entre hôpital privé et hôpital public en matière de réglementation, de qualité de soin et de procédure de suivi.

 

Quelles conséquences sur les remboursements ?

En tant que particulier, vous êtes libre de choisir entre l’hôpital public ou l’hôpital privé pour votre parcours de santé. Dans les deux cas, l’Assurance Maladie définit une grille de remboursement pour les actes pratiqués (on parle du tarif de Convention). Dans l’hôpital public, ce tarif de Convention est systématiquement utilisé comme référence. Ainsi, la plupart des soins pratiqués en hôpital public sont pris en charge par la Sécurité sociale (à hauteur de 80 %). Dans l’hôpital privé, en revanche, il est fréquent que vous soient facturés des dépassements d’honoraires et/ou des prestations de confort (supplément hôtelier, repas, etc.). Non pris en charge par l’Assurance Maladie, ces frais peuvent être assumés en partie par votre complémentaire santé (mutuelle) ou rester à votre charge. La souscription d’une assurance hospitalisation représente alors une solution pour vous aider à diminuer le montant de la facture. Chez Filiassur, la garantie hospitalisation vous permet par exemple de bénéficier d’indemnités journalières en cas d’hospitalisation en hôpital public ou en hôpital privé.

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Garantie hospitalisation pour plus d’informations sur notre offre.

L'incapacité et l'invalidité recouvrent des réalités différentes et ouvrent droit à des compensations différentes elles aussi. Pour mieux connaître vos droits, il est important de connaître leurs différences et leur mode de calcul.

 

Quelle est la différence entre le taux d'invalidité et le taux d'incapacité ?

Le taux d'incapacité et le taux d'invalidité répondent à des définitions précises :

 

Tout savoir sur le taux d'incapacité

Comment connaître son taux d'incapacité ?

Si vous avez été victime d'un accident du travail (ou sur le trajet du travail) ou si vous souffrez d'une maladie professionnelle, comment demander votre taux d'incapacité ? Le taux d'incapacité est déterminé par la MDPH (maison départementale des personnes handicapées) de votre lieu de résidence, au sein de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). Il est important de faire reconnaître son taux d'incapacité, car cela permet d'officialiser le handicap et de bénéficier, sous conditions, de certaines prestations sociales (carte d’invalidité, prestation compensatoire du handicap, allocation adulte handicapée, allocation d'éducation de l'enfant handicapé, etc.).

 

Calcul du taux d'incapacité

La commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) est l’organisme chargé de calculer votre taux d’incapacité. Cette commission ne donne pas un taux précis en pourcentage mais s'appuie sur un barème : l'incapacité est dite « légère », « modérée », « importante » ou « majeure ». Les incapacités importantes et majeures correspondent à des taux d'incapacité de plus de 50 % et elles seules permettent de bénéficier, sous conditions, de certaines des prestations mentionnées ci-dessus.

 

Tout savoir sur le taux d'invalidité

Comment obtenir un taux d'invalidité ?

Afin de savoir quel est le taux d'invalidité, le médecin de la Caisse d'assurance maladie dont dépend le salarié calcule et combine le taux d’invalidité fonctionnelle (qui établit la capacité à réaliser des gestes du quotidien) et le taux d’invalidité professionnelle (qui établit la capacité ou non à exercer le métier de l’assuré). Ce taux d’invalidité permettra de déterminer le montant de la pension d'invalidité touchée par l'assuré. Attention : la pension d'invalidité peut être réduite selon les autres prestations sociales touchées par l'assuré.

 

Calcul du taux d'invalidité

En fonction du taux d'invalidité, le médecin classera l'assuré en :

L'incapacité et l'invalidité peuvent entraîner des pertes de revenus importantes. C'est la raison pour laquelle il peut être judicieux de souscrire un contrat d'assurance couvrant les accidents de la vie. Avec le contrat Filiassur Accident de la vie, vous profitez d’une protection complète (versement d’indemnités jusqu’à 1 million d’euros, service d’assistance, etc.) afin de pouvoir faire face aux conséquences financières d’un accident de la vie et assurer l’avenir de vos proches.

 

N’hésitez pas à consulter la fiche solution Capital autonomie pour plus d’informations sur notre offre.

 

 

Parce que vous êtes beaucoup à être souvent inquiets, Filiassur a mis en place un nouveau service pour vous accompagner et vous aider dans votre vie : Filiassur Sérénité.

 

 

Filiassur Sérénité est un service en ligne vous aidant dans votre vie quotidienne. Profiter de notre soutien, et renseignez-vous dans différentes thématiques : l’équilibre financier, la santé et les aléas de la vie.

Vous êtes sceptiques ? Vous vous demandez comment cela va vous aider ? 

C'est simple !

Ce service est proposé en partenariat avec Domplus

Domplus a pour objectif d'accompagner ses clients en leur proposant de l'aide dans leur vie quotidienne. C'est donc tout naturellement que nous nous sommes tournés vers eux pour mettre en place Filiassur Sérénité.

 

Désormais, rien ne vous empêche de vivre sereinement 😉

Saviez-vous qu’en 2016, 667 cambriolages ont été commis chaque jour en France ? Propriétaire ou locataire, en maison ou appartement, personne n’est à l’abri de ce type de danger. Avec la période des départs en vacances, ce risque s’accroît, il vaut mieux donc se protéger avec une assurance multirisque habitation.

L’assurance multirisque habitation est une offre d’assurance optimale, intéressante en ce qu’elle protège votre logement contre un bon nombre de risques.

En effet, elle apporte un maximum de garanties, dont par exemple :

En cas de vol, la MRH peut protéger, selon les options souscrites, les biens qui se trouvent dans le logement assuré : électroménager, meubles, objets de valeur, œuvres d’art… Rien n’est laissé à l’écart.

Autre avantage inclus : la garantie responsabilité civile. Celle-ci protège l’assuré des dommages qu’il pourrait causer à un tiers et qui résulteraient de sa responsabilité.

Ainsi, l’assurance MRH est indispensable pour bien protéger votre logement et pouvoir partir en vacances l’esprit tranquille !

Filiassur, courtier en assurances, peut vous proposer une assurance avec les garanties adaptées à vos besoins. Contactez-nous dès maintenant par chat ou par téléphone au 0 977 400 600 (appel non surtaxé) pour en savoir plus.

Les fortes chaleurs sont synonyme de périodes à risque, il est donc important de prendre des précautions pour ne pas mettre sa santé en danger. Voici un récapitulatif pour prendre soin de vous et de vos proches.

Préparer le terrain

Avant tout, la prévention : idéalement avant le début d’une vague de chaleur, il est nécessaire de s’assurer que l’on a des volets ou stores qui ferment bien, des ventilateurs fonctionnels, et des glaçons dans le congélateur.

Penser à son entourage

Avec ses 15 000 décès, la canicule de 2003 nous a appris que la plupart des victimes ont succombé à cause de l’isolement, surtout en milieu urbain.

Vous pouvez vous poser deux questions :

Il y a quatre catégories de personnes qui méritent une attention particulière : les personnes âgées (plus de 65 ans), les enfants de moins de 4 ans, les femmes enceintes et les personnes fragiles ou handicapées.

Si parmi vos proches des personnes rentrent dans ces catégories, assurez-vous qu’elles s’hydratent régulièrement et en quantités suffisantes.

Si dans votre entourage vous connaissez des personnes handicapées, fragiles ou âgées qui sont isolées, vous pouvez les inciter à s’inscrire sur la liste de la mairie prévue à cet effet, afin qu’elles reçoivent la visite de bénévoles.

Prendre soin de vous

Pensez aussi à vous hydrater régulièrement, vous reposer et à écouter votre corps, notamment si vous êtes en fauteuil roulant, sportif engagé dans une compétition, ou travailleur en plein air.

Si possible, quelle que soit votre condition, prenez également les mesures suivantes :

En cas de malaise, maux de tête, vertige ou fièvre, prenez de l’eau et reposez-vous ! Si cela persiste, n’hésitez pas à consulter un médecin.

 

Source : www.ladepeche.fr

FILIASSUR : SAS au capital de 37500€ ayant son siège social 5 rue de Turbigo 75001 Paris, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro 498 850 445, société de courtage d'assurances immatriculée auprès de l'ORIAS sous le numéro n° 07 031 054 (vérifiable sur le site internet de l'ORIAS www.orias.fr), soumise à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, sis 4 place de Budapest CS 92459 75436 Paris CEDEX 09.

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